vendredi 31 juillet 2009

Actualités Internationales : Amérique latine, nouvelle exemple d'émancipation :

 

From: Forum Unité Communiste
Sent: Saturday, August 01, 2009 12:08 AM
Subject: Actualités Internationales : Amérique latine, nouvelle exemple d'émancipation :


Auteur: T 34
Sujet: Amérique latine, nouvelle exemple d'émancipation :
Envoyé : 31 Jul 2009 à 22:08

Presque un milliard de dollars investis aux Etats-Unis pour la militarisation de l'Amérique Latine
Eva Golinger informe que les buget du ministère de la"défense" est au dessous de 600 milliards de dollars, soit plus que celui de 2008 quand Bu$h était président.
553,8 milliards sont destinés au budget général et 85 milliards pour les guerres au Moyen-Orient.
Le budget du commandement sud a augmenté de 2%, pour atteindre 200 millions.
46 millions supplémentaires ont été approuvés pour améliorer la base de Palanquero en Colombie.
Il faut ajouter aussi 520 millions de dollars pour le plan Colombie et 20 millions pour la lutte "antiterroriste" dans l'hémisphère. 20 autres millions pour renforcer la lutte contre le "terrorisme" et le narcotraffic n'ont pas encore été approuvés.
Soit 760 millions de dollars pour l'Amérique latine en 2010.
Source

L'afflut d'argent se poursuit, l'offensive impériale en Amérique Latine se met en évidence en dollars
Il n'existe aucun doute sur l'escalade de l'agression impériale en Amérique Latine durant les dernières années. Depuis le coups d'état contre le Vénézuéla en 2002, la séquestration du président Jean Bertrand Aristide en 2004, les interventions dans les différents processus électoraux de la région, la réactivation de la IVème flotte, le coups d'Etat contre le Honduras ...
Les budgets de l'USAID et du département d'état pour l'Amérique Latine ont augmentés avec 2,2 milliards de dollars.
  • 447,7 millions de dollars pour "promouvoir la démocratie" en Amérique Latine
  • 13 millions de dollars pour "promouvoir la démocratie" au Vénézuéla
  • 101 millions de dollars pour "promouvoir la démocratie" en Bolivie
  • 3 millions de dollars pour un fond spécial de l'OEA pour "consolider la démocratie représentative en Bolivie, Equateur, Nicaragua et Vénézuéla"
  • 20 millones de dollars pour la "la transition à la démocratie" à Cuba
  • Le budget du commandement sud augmente de 2% pour arriver a 200 millions de dollars pour 2010 plus 46 millions additionels pour améliorer la base militaire de Palanquero en Colombie, pour l'usage étasunien.
  • Les fonds de l'USAID pour "promouvoir la démocratie se répartissent de la manière suivante en millions de dollars : Bolivie : 2009 = 86 , 2010 = 101 ; Equateur : 2009 = 35 , 2010 = 38 ; Honduras : 2009 = 43 , 2010 = 68 ; Nicaragua : 2009 = 27 , 2010 = 65.

    Source

    Venezuela - Manoeuvres militaires de la Colombie et des États-Unis à la frontière - Maniobras militares de Colombia y EEUU en la frontera

    Bref, une fois encore Obama mène la même politique belliciste et de provocations colonialistes que ses prédécesseurs partout dans le monde ...
    RoRo
     
     
     
     

    From: Antonio Artuso
    Sent: Thursday, July 30, 2009 4:02 PM
    To: 00-artusoantonio
    Subject: Venezuela - Manoeuvres militaires de la Colombie et des États-Unis à la frontière - Maniobras militares de Colombia y EEUU en la frontera


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    Yul Jarbour, député du Parlement andin et membre du Bureau politique du Parti communiste du Venezuela dénonce les manoeuvres militaires de la Colombie et des États-Unis à la frontière

     

    Yul Jarbour, diputado del Parlamento Andino y miembro del Buró Político del Partido Comunista de Venezuela denuncia maniobras militares de Colombia y EEUU en la frontera

     

    Yul Jarbour, member of the Andes Parliament and of the Political Bureau of the Communist Party of Venezuela denounces the military manoeuvers of Colombie and of the United States at the border

     

    From: juan miguel [mailto:juanito_bandolero@hotmail.com]
    Sent: Thursday, July 30, 2009 9:39 AM
    Subject: Denuncian maniobras militares de Colombia y EEUU en la frontera

     

    Escrito por Tribuna Popular  

    Thursday, 30 de July de 2009

    Yul Jabour, diputado del Parlamento Andino, Grupo Venezuela

    Yul Jabour, diputado del Parlamento Andino, Grupo Venezuela

    Yul Jabour, Secretario Político de Caracas del PCV

    Denuncian maniobras militares de Colombia y EEUU en la frontera

    Caracas, 30 jul. 2009, Tribuna Popular TP.- Miembros del Ejército colombiano y estadounidense, realizan maniobras conjuntas en la línea fronteriza con La Guajira venezolana, así lo denunció, Yul Jabour, diputado del Parlamento Andino, durante el programa Despertó Venezuela del día de ayer, que transmite VTV.

    Aseveró que afortunadamente nuestra frontera está protegida con el Ejercito venezolano, pero apuntó que el papel primordial del imperialismo es hacer que nuestros pueblos se confronten y se dividan, y que por ello, hay que tener prudencia. "En una confrontación, quien sale ganando es la maquinaria industrial norteamericana".

    Indicó que el Comité de Solidaridad Internacional  (COSI) también denunció que en Colombia existen por lo menos 34 puntos diseminados por la geografía colombiana, en los cuales se encuentran contratistas –mercenarios- del gobierno estadounidense.

    Jabour, quien también es miembro del Buró Político del Partido Comunista de Venezuela (PCV), destacó que la esencia del gobierno colombiano favorece a las grandes oligarquías y al imperialismo norteamericano y que por ello el Departamento de Estado norteamericano considera al país neogranadino el núcleo de desestabilizaciones.

    "Porque tiene fronteras con cinco países, es la entrada para el dominio de la Amazonía y porque tiene una oligarquía entreguista que a lo largo de su historia ha servido a los intereses de las grandes corporaciones y transnacionales".

    Subrayó que las acusaciones del gobierno colombiano e israelí, son hechos planificados y que pudiesen ser un pote de humo, para bajar la intensidad de las noticias en Honduras y generar con mayor fuerza una desestabilización en la región.

    Aseveró que la situación en Colombia para Uribe es compleja, primero porque Obama había rechazado el apoyo para Uribe en relación con una reelección. "Uribe tiene una gran rechazo por el presidente Obama y tiene su carta en la persona de Hillary Clinton y es quien defiende su reelección".

    Sobre el reciente comunicado en las FARC en el cual niega tajantemente haber tenido relación con el gobierno ecuatoriano, aseveró que esos laboratorios de mentiras, tienen como objetivo atacar a los dirigentes continentales que están luchando por la soberanía.

     



    LML 29 juillet: Les travailleurs de Sudbury condamnent le ministre fédéral de l'Industrie

     

    From: LML
    Sent: Thursday, July 30, 2009 9:28 PM
    To: lml@cpcml.ca
    Subject: LML 29 juillet: Les travailleurs de Sudbury condamnent le ministre fédéral de l'Industrie

    Le Marxiste-Léniniste

    Numéro 142 - 29 juillet 2009

    Les travailleurs de Sudbury condamnent
    le ministre fédéral de l'Industrie


    Copper Cliff, Ontario, 24 juillet 2009

    • Les travailleurs de Sudbury condamnent le ministre fédéral de l'Industrie
    • Le sel de la terre - Dave Starbuck
    • Les Métallos et le syndicat brésilien CUT joignent leurs efforts pour appuyer les travailleurs de Vale - Syndicat des Métallos
    • Des banques américaines et britanniques accroissent leur participation dans Vale
    • Vale veut accroître sa possession de potasse canadienne

    À titre d'information
    • Ce qu'a dit Tony Clement
    • Les travailleurs demandent la démission immédiate de Clement - Syndicat des Métallos

    ===

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    Le Canada maintient son programme d'aide à la formation militaire au Honduras

     

    From: Antonio Artuso
    Sent: Friday, July 31, 2009 2:10 PM
    To: 00-artusoantonio
    Subject: Le Canada maintient son programme d'aide à la formation militaire au Honduras


    Le Canada maintient son programme d'aide à la formation militaire au Honduras

    (Lire ci-dessous l'article de Jennifer Ditchburn - Canadian Press)


    From: Yves Engler [mailto:yvesengler@hotmail.com]
    Sent: Friday, July 31, 2009 12:07 AM
    Subject: Le Canada maintient son programme d'aide à la formation militaire au Honduras

     

    Le Canada maintient son programme d'aide à la formation militaire au Honduras

    De Jennifer Ditchburn (CP) – Il y a 5 heures

     

    OTTAWA — Le Canada continue à former des membres de l'armée du Honduras, et ce, un mois après le coup d'Etat survenu dans ce pays d'Amérique centrale.
    Le ministère de la Défense nationale affirme maintenir son programme d'aide à la formation militaire au Honduras. Le programme a été mis en place l'an dernier afin de fournir aux soldats honduriens des cours de langue et de maintien de la paix.
    Mais des opposants estiment que le gouvernement conservateur devrait emboîter le pas aux Etats-Unis et à l'Union européenne, et adopter des mesures concrètes pour signaler son désaccord envers les responsables du coup d'Etat.
    Grahame Russell, le représentant de l'organisation non-gouvernementale qui travaille avec les pays d'Amérique centrale, Rights Action, est en désaccord avec le message qu'Ottawa lance. Selon lui, le gouvernement canadien laisse entendre aux responsables du coup que même s'il les critique publiquement, ces derniers n'ont pas à s'inquiéter puisqu'Ottawa maintiendra ses relations économiques et militaires.
    Le porte-parole libéral en matière d'Affaires étrangères, Bob Rae, estime quant à lui que la suite logique serait de dire que le Canada suspend toute participation jusqu'à temps que la situation se résorbe.
    "Sinon, cela donne l'impression que pour nous, les affaires continuent comme si rien ne s'était passé et qu'il n'y a rien de plus que l'on peut faire ou dire", a ajouté M. Rae.
    Le 28 juin, des membres de l'armée hondurienne ont fait irruption dans le palais présidentiel à Tegulcigalpa et ont chassé le président élu démocratiquement, Manuel Zelaya. Les responsables du coup d'Etat empêchent désormais M. Zelaya, qui a trouvé refuge au Costa-Rica, de franchir la frontière du Honduras.
    Le gouvernement canadien avait transmis un communiqué dans lequel il condamnait le coup d'Etat. Il a également soutenu la suspension du Honduras de l'Organisation des Etats américains et les efforts de médiation du président du Costa-Rica, Oscar Arias, afin de ramener la démocratie au pays.
    Mais Ottawa hésite à prendre d'autres mesures.
    Le ministre d'Etat des Affaires étrangères (Amériques), Peter Kent, a affirmé que le programme de 70 000 $ ne représente pas un enjeu important et que le gouvernement réexamine l'assistance militaire accordée à ce pays.
    "Nous concentrons nos efforts pour soutenir les tentatives du président Arias à trouver, grâce à la médiation, une solution non violente pour le retour du président Zelaya et celui des pratiques et principes démocratiques au Honduras", a affirmé M. Kent, qui s'est entretenu directement avec les protagonistes.
    Il a également ajouté que le Canada ne mettrait pas fin aux subventions d'aide au développement de 16,4 millions $ accordées annuellement au Honduras.
    Copyright © 2009 The Canadian Press. Tous droits réservés


     

    Quelques commentaires :

     

    Le gouvernement conservateur de Stephen Harper maintient le programme canadien d'aide à la formation militaire au Honduras.

     

    Le gouvernement Harper demande à un peuple, victime d'un crime contre la démocratie et contre l'humanité, de négocier avec les auteurs de ce crime.  Négocier quoi?

     

    En fait les gouvernements Harper et Obama, défendent leurs maîtres, les capitalistes canadiens (transnationales minières), états-uniens et ceux du reste de monde.

     

    Les capitalistes veulent  soumettre tous les gouvernements qui (1) servent le peuple par des réformes indispensables; (2) promeuvent une politique d'unité et de coopération entre les peuples et les pays latino-américains pour améliorer les conditions de la classe ouvrière et des peuples, pour les sortir de la misère et des conditions de travail proches de l'esclavage; (3) qui veulent briser la domination par l'impérialisme (bases militaires, gouvernements au services des intérêts capitalistes) des peuples, des nations et des pays du monde.

     

    Le gouvernement Harper appuie, par ses positions, le coup d'État militaire, malgré les condamnations par l'ONU et  l'OEA, malgré la répression sanglante par l'armée, qui tire sur le peuple hondurien pacifique et désarmé, malgré les mensonges des putschistes, la fausse déclaration de démission du président, malgré la mobilisation massive du peuple hondurien, malgré les protestations mondiales, malgré la censure presque totale des médias.

     

    Le peuple canadien refuse d'être complice.

     

    L'avant-garde du peuple canadien s'est rapidement mobilisée, et les progressistes, les démocrates sincères et conséquents, la gauche, les communistes se sont mobilisés dès les premiers jours du coup d'État.  Les syndicats, les organismes de défense des droits de la personne et des peuples, les citoyennes/yens se sont  mobilisés.   Ils doivent s'unir toujours plus et former un Front uni mondial contre le fascisme et la guerre.

     

    Nous devons dénoncer, une fois de plus, les politiques ultra-réactionnaires du gouvernement Harper, le gouvernement le plus impérialiste qui soit, dénoncer ses politiques qui représentent le secteur le plus réactionnaire de la bourgeoisie canadienne.

     

    Protestons et exigeons des députés et des chefs des principaux partis politiques du Canada de défendre la démocratie et d'empêcher la montée du fascisme.

     

    M. Stephen Harper, premier ministre du Canada - 'HarpeS@parl.gc.ca'
    M. Michael Ignatieff, chef du Parti libéral du Canada - 'IgnatM@parl.gc.ca'

    M. Gilles Duceppe, chef du Bloc Québécois - 'DucepG@parl.gc.ca'

    M. Jack Layton, chef du Nouveau Parti démocratique - 'LaytoJ@parl.gc.ca'

    M. Peter Julian, député du NPD - 'Julian, Peter - M.P.'; 'julian.p@parl.gc.ca';

    M. Paul Dewar, député du NPD - critique du NPD sur les questions internationales - 'dewarp1a@parl.gc.ca'

    M. Thomas Mulcair, député du NPD - 'mulcair.t@parl.gc.ca'

    M. Amir Khadir, député, Assemblée nationale du Québec - 0-khadir1amir

     

    Se taire c'est être complice!

     

    Antonio Artuso - pueblo@sympatico.ca - Pour la création d'un Front uni mondial contre le fascisme et la guerre - Montréal, vendredi 31 juillet 2009.

     

     


    mercredi 29 juillet 2009

    LML 28 juillet: Vive le peuple cubain et sa révolution!

     

    From: LML
    Sent: Wednesday, July 29, 2009 7:46 PM
    To: lml@cpcml.ca
    Subject: LML 28 juillet: Vive le peuple cubain et sa révolution!

    Le Marxiste-Léniniste

    Numéro 141 - 28 juillet 2009

    56e anniversaire de l'attaque de la Moncada

    Vive le peuple cubain et sa révolution!



    Le président cubain Raúl Castro s'adresse au grand rassemblement
    de la Journée de Moncada à Holguín le 26 juillet 2009.

    • Vive le peuple cubain et sa révolution! - Parti communiste du Canada (marxiste-léniniste)
    • Célébration de la Journée de la Moncada: Les Cubains appelés à intensifier la reconstruction après les ouragans et les efforts dans l'agriculture
    • L'anniversaire de Moncada est célébré partout à Cuba
    • Le Journée de la révolution cubaine célébrée au Canada

    À titre d'information
    • Moncada, la Journée de rébellion nationale de Cuba - Jamilé Ghaddar

    ===

    http://www.cpcml.ca/francais/index.html

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    mardi 28 juillet 2009

    Sur le chemin de la caserne Moncada

     

    From: Agence Cubaine d´Information
    Sent: Monday, July 27, 2009 10:52 PM
    To: Frances List Member
    Subject: ACN Sur le chemin de la caserne Moncada



    ACN traducción al francés
    Sur le chemin de la caserne Moncada
     ( Ángel Rodríguez Álvarez )

           L´attaque des casernes Moncada et Carlos Manuel de Céspedes, réalisée le 26 juillet 1953, a été préparée clandestinement et chaque détail a été examiné avec le plus grand soin.
           Fidel Castro, Abel Santamaria et le petit groupe de leurs collaborateurs les plus proches ont travaillé en silence pour parvenir à vaincre les difficultés de l´époque, ce qui constitue un exemple d´organisation, de discipline et de conduite révolutionnaire.
           Nous présentons à continuation une chronologie des activités réalisées pour préparer les actions de cette journée historique, et dont on pourra apprécier qu´elles ont été planifiées avec une notable anticipation.
    1951 - Fidel a l´idée d´utiliser le parlement comme un point de départ pour forcer les moyens légaux et pour établir une plateforme qui puisse mobiliser les masses populaires et permettre la prise du pouvoir.
              Sur ce sujet, il a déclaré: «  C´était la première fois que je concevais une stratégie de prise du pouvoir. Une fois parvenu au parlement, je passerais par-dessus la discipline du parti et je présenterais un programme qui contiendrait pratiquement toutes ces mesures qui plus tard, après le triomphe de la révolution, ont été transformées en lois. »
    16 mars 1952 – Six jours après le coup d´état perpétré par Fulgencio Batista, Fidel écrit l´article « Ce n´est pas une révolution, c´est un putsch ». Comme il était impossible d´en publier le texte, il a été ronéographié et distribué lors d´une manifestation des orthodoxes au cimetière de Colon.
    20 mars 1952 – Fidel fait des efforts pour convaincre les leaders du parti Orthodoxe du bien-fondé de ses positions, mais il comprend que c´est inutile. Il l´a expliqué lui-même :
    «  J´ai commencé à organiser les premières cellules actives avec l´espérance de pouvoir travailler avec ceux des dirigeants du parti orthodoxe qui se sentiraient prêts à accomplir leur devoir élémentaire de lutter contre Batiste. La seule chose que je désirais, c´était un fusil et des ordres pour réaliser la mission qui me serait donnée. »
    Vers le milieu de l´année 1952 – Fidel se réunit avec José Suarez, au 109 de l´avenue du Prado, et lui demande de contacter des jeunes de la ville d´Artemisa.
    24 mars 1952 – Fidel porte plainte contre Batiste devant le Tribunal d´Urgence, et l´accuse de sédition, de rébellion et d´attaque nocturne. Il demande qu´il soit condamné à 100 ans de prison pour ces faits.
    1º mai 1952 – Fidel connait Abel Santamaría. C´est Jésus Montané qui les présente.
    7 mai 1952 - Fidel et Abel vont à la ville de Colon, dans la province de Matanzas, pour prendre contact avec le docteur Mario Muñoz.
    Mai 1952 – Fidel rédige l´article «  Bilan critique du PPC (Orthodoxe) » dans lequel il explique : « Au dessus du tumulte des poltrons, des médiocres et des pauvres d´esprit, il est nécessaire de faire une critique brève mais vaillante et constructive du mouvement orthodoxe, après la disparition de son grand leader Eduardo Chibas. »
    Juin 1952 – Sortie du bulletin «  Ce sont les mêmes », rédigé par Abel, Raul Gomez et Jesus Montané. Il cessera ensuite d´être publié mais le premier juin, commence à circuler «  L´accusateur », rédigé dans l´appartement de 25 et O, dans le quartier du Vedado, à La Havane. C´est dans ce bulletin que Fidel publie son article «  J´accuse », accompagné d´une caricature montrant un soldat disant à Batiste : «  Général, je suis au garde-à vous, (¨yo me cuadro¨ signifie littéralement : je me cadre)…, mais vous, vous vous arrondissez… ».
    16 Août 1952 – Plusieurs membres du mouvement se réunissent devant la tombe de Chibas, dans le cimetière havanais de Colon.
    C´est ce jour-là que Fidel et Abel créent la direction du mouvement avec Raul Martinez Araras, Mario Muñoz Monroy, Boris Luis Santa Coloma, Oscar Alcalde, Jesús Montané, Antonio " Ñico " López, Renato Guitart et Pedro Miret.
    D´août 1952 à janvier 1953 – Étape d´organisation du mouvement.
    Décembre 1952 – Fidel réalise plusieurs voyages à Artémisa, pour préciser des détails et donner des orientations.
    Décembre 1952 – Début des séances de pratique de tir à l´Université de La Havane.
    13 janvier 1953 – Fidel fait une intervention au Conseil National du Parti Orthodoxe et à la fin, il s´exclame : «  Allons-nous en d´ici. On ne peut pas compter sur ces politiciens pour faire la révolution ».
    Janvier 1953 – Fidel donne des instructions aux cellules clandestines qui sont un modèle de discrétion et d´organisation.
    25 janvier 1953 – Lors d´une réunion, la Fédération Etudiante Universitaire (FEU) décide d´organiser un défilé en hommage au centenaire de José Marti. Il ira jusqu´au local de la Fragua Martiana (une ancienne carrière située dans le quartier du Vedado, et où Marti, condamné par les espagnols, avait été obligé d´accomplir de longues heures de travaux pénibles N. D, T.).
    27 janvier 1953 – Défilé des torches, une des activités organisées par la FEU.
    28 janvier 1953 – Défilé de l´Université à la statue de José Marti située dans le parc central, nouvelle démonstration d´organisation et de discipline de la Génération du Centenaire.
    14 février 1953 – De violentes manifestations étudiantes éclatent tout le long de l´avenue 23, après l´enterrement de Ruben Batista Rubio, qui était mort des blessures infligées par la police quelques jours auparavant.
    D´autres troubles se sont produit dans les lycées et d´autres écoles de La Habana, Marianao, Sagua la Grande, Camagüey, Guantánamo et Santiago de Cuba.
    14 février 1953 – Fidel est accusé en justice.
    Février 1953 – L´entrainement des premières cellules est organisé dans plusieurs fermes de la province de La Havane et au Club de Chasseurs du Cerro.
    Début d´une campagne pour réunir l´argent nécessaire pour payer les frais de l´entrainement et l´achat des armes.
    Fidel charge Florentino Fernandez, un infirmier de l´armée, d´acquérir les uniformes militaires.
    Mars 1953 – Tous les membres des différentes cellules reçoivent l´orientation de ne plus participer à aucune activité politique.
    Avril 1953 – L´achat d´uniformes à des membres de l´armée commence. D´autres seront fabriqués dans l´appartement des parents de Melba Hernandez.
    Juin 1953 – Renato Guitart loue la petite ferme Siboney, proche de Santiago de Cuba, ainsi qu´un vieil immeuble à Bayamo et deux maisons à Santiago.
    Abel voyage à Santiago pour aider Renato dans ses gestions. Il participe également à l´achat d´armes et de munitions.
    22 juillet 1953 – Fidel et Raul Gomez Garcia travaillent à la rédaction du manifeste de la Moncada, qui sera connu sous le titre de Manifeste à la Nation.
    23 et 24 juillet 1953 – 131 membres du mouvement arrivent à Santiago dans 15 automobiles. Le reste arrive par train ou en autobus, et entre eux Haydée Santamaria et Melba Hernandez.
    23 juillet 1953 – Fidel, accompagné de Ñico Lopez, rend visite au docteur Mario Muñoz, à Colon, dans la province de Matanzas.
    24 et 25 juillet 1953 - Ernesto Tizol, Abel, Gómez García y Jesús Montané travaillent à l´installation dans la petite ferme Siboney.
    25 juillet 1953 – Dans son voyage vers Santiago, Fidel s´arrête à Colon pour prévenir le docteur Muñoz de l´action imminente.
    À vingt deux heures, Fidel arrive à la ferme Siboney.
    26 juillet 1953 – Fidel réunit les futurs attaquants et leur parle. Il divise les camarades en trois groupes. C´est lui qui ira à la tête du premier. Léster Rodriguez, à la tête du second, devra aller au palais de justice et Abel, à la tête du troisième, formé de 21 hommes et deux femmes, à l´hôpital Saturnino Lora. C´est Abel qui prend ensuite la parole et ses derniers mots sont : «  Mourir pour la Patrie, c´est vivre ! » .
    Ensuite, Raul Gomez Garcia lit le manifeste à la nation et tous chantent en sourdine l´Hymne National.
    5h30 : Fidel déclare aux futures attaquants : «  Ici, en Oriente, nous crierons pour la première fois ¨La Liberté ou la mort¨ » .
    5h20 : Ils montent tous dans les automobiles. D´abord celui d´Abel, puis celui de Juan Manuel Almeijeiras, ensuite un autre que conduit Pedro Dalmau, qui allait au palais de justice. Pedro Marrero conduit un quatrième, avec le groupe d´avant-garde qui doit attaquer le poste de garde de la porte 3. Fidel, qui conduit une Buick de 1953, est le cinquième à démarrer, suivi par la voiture de Boris Luis Santa Coloma. La dernière à sortir est celle de Mario Muñoz, dans laquelle se trouvent Melba et Haydée.

     Bibliographie:
    -Vergüenza contra dinero, de Raúl Rodríguez la O.
    -El último aldabonazo, de Armando Hart.
    -El grito del Moncada, de Mario Mencía.
    -Tiempos precursores, de Mario Mencía.
    -Articles de l´édition spéciale de la revue Bohémia pour le cinquantième anniversaire de l´assaut à la caserne Moncada.
     


    Honduras - Déclaration du Parti communiste du Canada - Statement of the Communist Party of Canada

     

    From: Antonio Artuso
    Sent: Tuesday, July 28, 2009 6:52 AM
    To: 00-artusoantonio
    Subject: Honduras - Déclaration du Parti communiste du Canada - Statement of the Communist Party of Canada


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    [FRANÇAIS] + [ENGLISH]


     

    Déclaration émise par le Parti communiste du Canada

    290A Danforth Ave., Toronto, ON M4K 1N6

    Tél. : (416) 469-2446 (v) - Courriel : info@cpc-pcc.ca - Internet : www.communist-party.ca

     

     

    Pour mettre fin au coup d'État au Honduras

    le Canada doit agir maintenant!

     

    Un mois s'est écoulé depuis le coup d'État du 28 juin au Honduras, par lequel le président élu, Manuel Zelaya, a été démis de ses fonctions et exilé, alors que l'un des dirigeants du coup d'État, Roberto Micheletti, a été mis à sa place soi-disant comme "président intérimaire".  En dépit de cela, des manifestations de protestation, des grèves générales en cours dans le pays, et de la condamnation internationale unanime, y compris la suspension du Honduras de l'Organisation des États américains (OEA), les dirigeants du coup d'État se maintiennent au contrôle du pays.

    Le Canada et les autres États impérialistes - les États-Unis en premier - ont d'abord été forcés de se dissocier publiquement du coup d'État.  Mais la secrétaire d'État états-unienne, Hillary Clinton, et le gouvernement Harper, à Ottawa, refusent d'exiger le retour de Zelaya au pouvoir, et, par conséquent, les échanges commerciaux et la fourniture d'aide économique se poursuivent.  Comme l'a dit un analyste, «si l'administration Obama voulait vraiment mettre fin à ce coup d'État, il lui suffirait de donner un coup de téléphone!»

    En effet, l'allégation selon laquelle le gouvernement états-unien n'a pas été étroitement impliqué dans le coup d'État ne tient pas debout.  La majorité des membres du commandement de l'armée hondurienne et des autres hauts fonctionnaires de l'État ont été formés aux États-Unis (entre autres à la célèbre «École des Amériques»).  L'armée et les services d'intelligence états-uniens savent tout ce qui se passe au Honduras et dans les autres États faibles de type néo-colonial de la région.  Quant à la mafia terroriste, d'origine cubaine, appuyée par les États-Unis et basée à Miami, a des liens étroits avec l'oligarchie hondurienne, y compris par leur participation au lucratif commerce des drogues.

    L'impérialisme joue double jeu quand il fait, d'une part, de grandes déclarations contre le coup d'État, alors qu'il applaudit en privé les auteurs de ce coup, en les protégeant de toute pression internationale concertée, donnant ainsi aux putschistes le temps d'étouffer la résistance locale et de consolider leur emprise inconstitutionnelle sur le pouvoir.

    Et la raison est simple : le Honduras est un terrain d'essai pour de nouvelles tactiques servant à renverser des gouvernements socialistes, anti-impérialistes, progressistes ou d'orientation de gauche en Amérique latine, qui tiennent compte des conditions actuelles et qui sont différentes de celles des années 1950, 60 et 70, alors que les coups d'État appuyés et conçus par les États-Unis se multipliaient dans tout l'hémisphère des Amériques.

    Le président Zelaya a perdu la faveur de la classe dirigeante du Honduras et de ses alliés états-uniens quand il a commencé à adopter des politiques plus indépendantes et plus favorables au peuple, quand il s'est fortement opposé à la privatisation de HonduTel et d'autres entreprises de services publics, quand il a développé ses liens diplomatiques, économiques et politiques avec Cuba, avec le Venezuela et avec d'autres États progressistes, pour ensuite rejoindre l'ALBA (Alternative bolivarienne pour les Amériques).  Lorsque les cercles oligarchiques au sein de l'État (les forces armées honduriennes, le système judiciaire et le Congrès) ont conclu qu'ils avaient perdu le contrôle effectif de Zelaya, et qu'un grand pourcentage de travailleuses/eurs, de paysannes/ans et de pauvres avait commencé à prendre forme, ils ont décidé le moment était venu d'agir.

    Le Parti communiste du Canada se joint aux mouvements ouvrier, progressite et aux autres organisations démocratiques pour condamner clairement et sans équivoque le coup d'État au Honduras et pour exiger le rétablissement immédiat du président Manuel Zelaya à ses fonctions et l'arrestation et le châtiment des responsables du coup d'État.  Nous exigeons également que le gouvernement du Canada condamne les attaques brutales du régime contre les travailleuses/eurs, les jeunes et les autres citoyennes/ens honduriennes/iens opposées/és au coup d'État, et exige que les leaders du coup d'État se rendent et rétablissent immédiatement à son poste légitime le président élu démocratiquement, sans conditions.  Ces demandes doivent être combinées aux mesures suivantes:

    • cesser tous les programmes d'aide au Honduras, directs ou appuyés par l'État, qui profitent à l'oligarchie;
    • cesser les relations diplomatiques avec le Honduras et déclarer l'ambassadeur hondurien au Canada persona non grata; et
    • imposer des sanctions économiques, politiques et militaires généralisées contre le Honduras

     

    Toutes ces mesures seront nécessaires et pourront suffire si les positions du Canada sont traduites par des actes réels.  Nous sommes convaincus que le peuple hondurien, au moyen de l'appui et de la solidarité des peuples du monde, réussira à renverser ce coup d'État, à vaincre les machinations actuelles et futures de l'oligarchie et de ses appuis impérialistes!

     

     

     

     

    Issued by the Communist Party of Canada

    290A Danforth Ave., Toronto, ON   M4K 1N6

    416-469-2446 (v); info@cpc-pcc.ca;   www.communist-party.ca

     

     

    End the Coup in Honduras!

    Canada Must Act Now!

     

    One month has passed since the June 28th coup d'état in Honduras which drove elected President Manuel Zelaya from office and into exile, installing one of the coup leaders, Roberto Micheletti as "Interim President" in his place. And yet despite street protests and general strikes inside the country, and unanimous international condemnation, including Honduras' suspension from the Organization of American States (OAS), the coup leaders remain in control.

    Canada and the other imperialist states – the United States in the first instance – were forced at first to publicly disassociate themselves from the coup. But U.S. Secretary of State Hillary Clinton and the Harper government in Ottawa are refusing to insist on the return of Zelaya to power, and economic trade and aid grants continue to flow. As one commentator said recently, 'if the Obama Administration really wanted to end the coup, they could do it with one phone call'!

    Indeed, the claim that the U.S. government was not intimately involved in the coup holds no water. Most of the Honduran army command and other high state officials were trained in the U.S. (including at the notorious "School of the Americas"); the U.S. military/intelligence apparatus knows everything that goes on in Honduras and other weak, neo-colonial states in the region; and the U.S.-sponsored, terrorist ex-Cuban mafia based in Miami have extensive ties with the Honduran oligarchy, including involvement in the lucrative drug trade.

    Imperialism is playing an elaborate shell game: making verbal pronouncements against the coup but privately applauding the coup leaders and shielding them from real concerted international pressure, thus giving the putchists time to snuff out domestic resistance and consolidate their unconstitutional grip on power.

    And the reason is simple: Honduras is a training ground to work out new tactics to depose socialist, anti-imperialist and other progressive or left-leaning governments in Latin America under present-day conditions, compared to those of the 1950s, 60s and 70s when U.S.-backed and engineered coups proliferated  across this Hemisphere.

    President Zelaya lost favour with the Honduran ruling class and its U.S. backers when he began to embrace more independent and pro-people policies, came out strongly against the privatization of HonduTel and other public utilities, expanded diplomatic, economic and political relations with Cuba, Venezuela and other progressive states, and then moved to join the Bolivarian Alternative for the Americas (ALBA). When the oligarchic circles within the state (the Honduran Armed Forces, the court system, and the Congress) concluded they had lost effective control over Zelaya, and that a mass constituency of workers, peasants and the poor was beginning to take shape, they decided the time had come to act.

    The Communist Party of Canada joins with labour, progressive and other democratic organizations in clearly and unambiguously condemning the coup d'état in Honduras and demanding the immediate re-instatement of President Manuel Zelaya, and the arrest and punishment of the coup leaders. We also demand that the Government of Canada condemn the regime's brutal attacks against workers, youth and other progressive Hondurans opposing the coup d'état, and demand that the coup leaders immediately surrender power and restore the democratically-elected President to his rightful office, without conditions. These demands must be combined with the following actions:

    • halting all direct and state-supported aid programs to Honduras that benefit the oligarchy;
    • ending diplomatic relations with Honduras and declaring its Ambassador to Canada persona non grata; and
    • imposing comprehensive economic, political and military sanctions against Honduras

     

    Nothing short of these measures will suffice, if Canada's words are to be matched by real deeds. We remain confident that the Honduran people, with the support and solidarity of the people of the world, will succeed in overturning this coup d'état, defeating this and other machinations of the oligarchy and its imperialist backers!


    samedi 25 juillet 2009

    URGENT - Pétition Honduras Chambre des Communes du Canada - Français + Español

     

    From: Antonio Artuso
    Sent: Saturday, July 25, 2009 9:05 PM
    To: 00-artusoantonio
    Cc: apcal.agencedepresse@gmail.com ; protach@yahoogroups.com
    Subject: URGENT - Pétition Honduras Chambre des Communes du Canada - Français + Español


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    Por favor difundir este mensaje - Para recibir mis mensajes, dejar de recibirlos o enviar sus comentarios escriba para:                 Antonio Artuso, Montreal, Canadá - pueblo@sympatico.ca


    [FRANÇAIS] + [ESPAÑOL]

     

    URGENT :     1) Pétition à présenter à la Chambre des Communes à Ottawa le mardi 28 juillet

                            2) Organisation de la manifestation à Ottawa (Un autobus partira de Montréal à 8h30)

     

    URGENTE:  1) Petición a ser presentada en la Camara de los Comunes en Ottawa el martes 28 de julio

                           2) Organización de la manifestación en Ottawa (Un bus partirá de Montreal a las 8:30)

     

    Comme nous l'avons décidé à notre réunion du 21 juillet (voir procès-verbal envoyé plus tôt), nous vous faisons parvenir, ci-joint, la pétition en français et en espagnol qui sera remise à des députés du Nouveau Parti démocratique et à des membres du Parlement du Canada d'autres partis politiques.

    Comme nous l'avons également décidé, chacune et chacun de nous essaiera de recueillir le plus grand nombre de signatures avant la manifestation.

    Nous vous suggérons d'imprimer la pétition ci-joint et de recueillir le plus de signatures possibles sur une feuille blanche de grand format (8,8 par 14),

    en inscrivant au sommet de la feuille :   Nom  / Nombre :            Signature / Firma :                  Adresse / Dirección :          Code postal / Codigo postal :

    Nous remettrons la pétition lors de la manifestation que nous organisons et qui aura lieu le mardi le 28 juillet, à Ottawa, devant le Parlement.

    Un autobus loué par un syndicat nous transportera gratuitement.  Il partira matin mardi le 28 juillet à 8h30 devant la sortie Ste-Catherine station de métro Atwater.

    Il est important que vous nous envoyiez les noms des personnes qui iront en autobus à Ottawa.

    Écrivez-nous à l'adresse électronique suivante : pueblo@sympatico.ca ou téléphonez-nous : (514) 737-7817

     

    Como se decidió en la reunión celebrada el 21 de julio (véase el acta que se envió anteriormente), adjuntamos la petición en francés y español que se entregará firmada a los miembros del Nuevo Partido Democrático y posiblemente a parlamentarios de otros partidos políticos.
    Como también hemos decidido, cada uno de nosotros tratará de reunir el mayor número de firmas antes del evento.
    Le sugerimos que imprima la petición adjunta y reuna el mayor numero de firmas posible en una hoja en blanco de gran formato (8,8 por 14)
    colocando en la parte superior de la hoja:  

    Nom/nombre                        Signature/firma                          Adresse/Direccion                         Code postal/codigo postal

    Vamos entregar la petición en la manifestación  que se hará en Ottawa el martes 28 de julio frente al Parlamento Canadiense.
    Un autobús alquilado por un sindicato nos llevara gratuitamente. Par ir, hay que estar  el martes 28 de julio a las 8:30 de la mañana en la estación de metro Atwater en la salida sobre la calle Sainte-Catherine, donde estará parqueado el bus.
    Es importante que nos envíe los nombres de las personas que van ir en autobús a Ottawa.
    Para ello escríbanos a la siguiente dirección: pueblo@sympatico.ca o llámenos: (514) 737-7817

     

     

    PÉTITION À REMETTRE À LA CHAMBRE DES COMMUNES DU CANADA

     

    APPEL AU GOUVERNEMENT CANADIEN POUR QU'IL EXIGE LE RETOUR IMMÉDIAT DU PRÉSIDENT LÉGITIME DU HONDURAS, JOSÉ MANUEL ZELAYA, À SES FONCTIONS

     

    ATTENDU QUE le président légitimement élu du Honduras, José Manuel Zelaya, n'a, par ses actions, violé en aucune façon la Constitution hondurienne puisqu'il n'a pas convoqué de référendum mais qu'il a procédé à une consultation de l'opinion publique qui n'avait pas de caractère contraignant ou obligatoire, et donc pas de pouvoir de décision, puisque cette consultation n'aurait pu que difficilement imposer la réélection étant donné que tels n'étaient ni la question ni le but de la consultation, et que les conséquences décriées par l'opposition ne sont que des hypothèses;

     

    ATTENDU QUE sous prétexte de défendre la Constitution, le Congrès du Honduras, le gouvernement «de facto» de Roberto Micheletti, les militaires et les tribunaux ont violé, à tous les points de vue (juridique, politique et moral), la Constitution en vigueur.  Premièrement parce que, bien qu'à l'Article 102, la Constitution interdise aux autorités honduriennes d'expatrier un citoyen du Honduras ou de le remettre à un État étranger.  L'expulsion de Zelaya est donc inconstitutionnelle.  Deuxièmement parce que même si la Constitution établit la subordination hiérarchique des forces armées au pouvoir légitimement constitué, lorsque le président a destitué le chef de l'état-major (général Romeo Vásquez Velásquez) parce qu'il avait refusé de se conformer à l'ordre du Pouvoir exécutif, les Pouvoirs judiciaire et législatif ont ignoré la subordination hiérarchique des forces armées au pouvoir légitimement constitué et ont ordonné a réintégration du général à ses fonctions et à son poste au sein des forces armées, désobéissant ainsi au Pouvoir exécutif.  Parce que le Conseil de commandement, qui comprend les chefs des trois armes, ainsi que l'inspecteur général et le chef de l'état major conjoint, se sont joints à l'alliance d'opposition au président et ont exécuté le coup d'État dans la matinée du 28 juin;

     

    ATTENDU QUE: es Forces armées honduriennes continuent d'exercer la violence, qu'elles continuent de frapper, de persécuter et de tuer des citoyennes/ens sans défense alors que ces derniers manifestent pour s'opposer au coup d'État et pour demander le retour du président démocratiquement élu à ses fonctions au Honduras; attendu qu'elles ont forcé les médias opposés au coup d'État à se soumettre, ce qui a conduit à la désinformation et à l'absence d'information sur ce qui se passe; attendu qu'elles procèdent à l'écoute téléphonique, à la détention de fonctionnaires, à l'interruption du courant électrique, à l'imposition du couvre-feu et qu'elles s'auto proclament "défenseurs de la nation", alors que tous ces faits constituent une grave violation des droits de la personne et de la démocratie, qui sont basés sur le respect de la vie, de la liberté d'expression et de mouvement, et de la liberté des peuples à élire et à être élus.

     

    ATTENDU QUE : le Congrès hondurien a pris des décisions illégales en produisant, dans le but de créer un vide du pouvoir et de justifier le remplacement du président, un faux document daté du 25 juin en falsifiant la signature du président Zelaya, pour essayer de faire croire que ce dernier avait démissionné de ses fonctions, alors qu'il était toujours dans le plein exercice du pouvoir; attendu que ces faits s'ajoutent aux autres délits de nature pénale qui renforcent les preuves qu'il y a eu renversement du président constitutionnel.  L'illégitimité d'un gouvernement ne peut maintenant se légaliser sur de prétendus formalismes, mis de l'avant par leurs défenseurs, qui essaient de cacher les caractéristiques d'un coup d'État en affirmant que les trois pouvoirs (exécutif, législatif et judiciaire) existent encore, que l'ordre constitutionnel n'a pas été détruit, qu'il n'y a pas de militaires à la tête des institutions de l'État.  C'est un fait prouvé que les forces armées honduriennes n'ont pas obéi au Pouvoir exécutif, qu'elles ont été complices de la rupture de l'ordre constitutionnel, qu'elles maintiennent aujourd'hui cette situation de rupture aujourd'hui et qu'elles le défendent encore contre la décision démocratique du peuple hondurien;

     

    ATTENDU QUE les intérêts économiques du Canada ne peuvent primer sur les principes que sa propre Constitution proclame, et attendu qu'il est maintenant de notoriété publique que 30% du territoire hondurien est exploité en vertu de concessions du Honduras à des compagnies minières étrangères, particulièrement canadiennes, et que le gouvernement du président Zelaya a annoncé qu'il ne renouvellerait pas ces concessions au cour de son mandat;

     

    PAR CONSÉQUENT les signataires de la présente pétition demandent instamment au Parlement canadien d'exiger le retour immédiat du président Zelaya, étant donné que le coup d'Etat qui a renversé le président légitimement élu et qui a rompu l'ordre constitutionnel et la primauté du droit dans ce pays, qui a enlevé et expulsé le président Zelaya constituent des actes illégaux.  Nous demandons au Canada d'honorer sa tradition démocratique et de ne pas assumer une position ambiguë, qui pourrait être comprise comme une justification du coup d'État survenu au Honduras et comme une tentative de protéger les intérêts économiques des compagnies en dépit du droit et, nous demandons, par conséquent, au Canada de mettre en œuvre les sanctions qui sont prévues pour les gouvernements putschistes par les instances internationales dont le Canada fait partie.

     

    FRONT LARGE CONTRE LE COUP D'ÉTAT AU HONDURAS

    5430, av. Trans Island, Montréal (Qc) Canada H3W 3A5

    Tél. : (514) 737-7817 - Courriel : pueblo@sympatico.ca

     

     

    PETICIÓN A LA CAMARA DE LOS COMUNES DE CANADÁ

     

    LLAMADO PARA QUE EL GOBIERNO CANADIENSE EXIJA LA RESTITUCIÓN INMEDIATA DEL PRESIDENTE JOSÉ MANUEL ZELAYA COMO MANDATARIO LEGÍTIMO DE HONDURAS

     

    CONSIDERANDO: que las acciones del Presidente José Manuel Zelaya de Honduras no violaron la Constitución nacional hondureña porque nunca convocó a un referendo sino a una consulta de opinión, sin carácter vinculante ni obligatoria, por tanto sin poder decisorio, que difícilmente podría haber determinado la reelección ya que esa no era la pregunta ni el objeto de la consulta y que cualquier repercusión de la misma esta basado sobre supuestos

     

    CONSIDERANDO: que, argumentando pretender defender la Constitución, el Congreso hondureño, el gobierno de facto de Roberto Micheletti, las fuerzas militares y los tribunales de justicia violaron la Constitución vigente, desde todos los puntos de vista - jurídico, político y moral: Primero porque el Artículo 102 prohíbe que los ciudadanos de Honduras sean expatriados o entregados por las autoridades de su país a un Estado extranjero, la expulsión del presidente Zelaya es completamente inconstitucional. Segundo, porque la Constitución vigente en Honduras establece la subordinación jerárquica de las Fuerzas Armadas al poder legítimamente constituido. El Presidente de la República, había destituido al Jefe del Estado Mayor Conjunto, General Romeo Vásquez Velásquez, por negarse a cumplir una orden del Ejecutivo, el Poder Judicial y el Poder Legislativo desconociendo esta facultad constitucional, ordenaron su restitución y solicitaron la inclusión de las fuerzas armadas en la desobediencia al Ejecutivo.  La Junta de Comandantes, constituida por los Jefes de las tres fuerzas y por el Inspector General, además del propio Jefe del Estado Mayor Conjunto, decidió involucrarse en la confrontación tomando partido por la alianza opositora y ejecutando el golpe de Estado de la mañana de 28 de junio;

     

    CONSIDERANDO: La violencia continua ejercida  por las Fuerzas Armadas hondureñas, matando, persiguiendo y golpeando a los ciudadanos indefensos que se manifiestan para rechazar el golpe de Estado, y solicitar la restitución del presidente elegido democráticamente en este país. El sometimiento de los medios de comunicación opuestos al golpe, que generó la desinformación, y la ausencia de información sobre lo que estaba ocurriendo. La intervención de teléfonos, la detención de funcionarios, la interrupción del fluido eléctrico, el intento de controlar la comunicación electrónica, la implantación de un toque de queda  y la auto-proclamación como defensores de la nación, hechos todos que representa una violación  grave de los derechos humanos, y de la democracia que se soporta en el respeto a la vida, a la libre expresión y movilización, y en la libertad de los pueblos para elegir y ser elegidos.

     

    CONSIDERANDO: La ilegalidad de las decisiones del Congreso hondureño que pretendieron generar un vacío de poder y  justificar una sustitución del Presidente,  basados en  una supuesta renuncia  que lleva la falsificación de la firma del presidente  Zelaya y que tiene fecha del 25 de junio cuando el presidente aun estaba en pleno ejercicio de su cargo. Estos hechos  consolidan la figura del derrocamiento, además de otros delitos de índole penal. La iligitimidad de un gobierno no puede ahora legalizarse sobre supuestos formalismos que argumentan  sus defensores, y que intentan disfrazar las características claras de un golpe de Estado, bajo preceptos de que aún  siguen existiendo los tres poderes, no se ha roto el orden constitucional y no hay militares al frente de las instituciones del Estado, cuando es un hecho probado que las Fuerzas Armadas hondureñas, desacataron al Ejecutivo  se volvieron cómplices del rompimiento del orden constitucional , y hoy lo mantienen y lo defienden en contra de la decisión democrática del pueblo hondureño;

     

    CONSIDERANDO: Que los intereses económicos del Canadá no pueden estar por encima de los principios que su propia Constitución defiende ya que es de conocimiento público  que actualmente el 30 % del territorio hondureño está siendo explotado por las concesiones a empresas mineras extranjeras, especialmente canadienses y que el gobierno del presidente Zelaya había anunciado no serían renovadas bajo su mandato;

     

    POR CONSIGUIENTE: Los peticionarios instan al parlamento a solicitar el reintegro inmediato del presidente Zelaya sobre la base de que ha sido un golpe de Estado que derrocó al presidente legítimamente elegido y ha roto el orden constitucional y el Estado de Derecho en este país, que el secuestro y expulsión del presidente Zelaya es ilegal.  Pedimos que el Canadá haga honor a su tradición democrática y no asuma una posición ambigua que pueda entenderse como una justificación del golpe de Estado en Honduras para proteger sus  intereses económicos y en consecuencia aplique las sanciones que están previstas para los gobiernos golpistas.en los organismos internacionales, de los cuales hace parte,

     

    FRENTE AMPLIO CONTRA EL GOLPE DE ESTADO EN HONDURAS

    5430, av. Trans Island, Montréal (Qc) Canada H3W 3A5

    Tel.: (514) 737-7817 - e-mail: pueblo@sympatico.ca

     

     


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