samedi 25 juillet 2009

URGENT - Pétition Honduras Chambre des Communes du Canada - Français + Español

 

From: Antonio Artuso
Sent: Saturday, July 25, 2009 9:05 PM
To: 00-artusoantonio
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Subject: URGENT - Pétition Honduras Chambre des Communes du Canada - Français + Español


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[FRANÇAIS] + [ESPAÑOL]

 

URGENT :     1) Pétition à présenter à la Chambre des Communes à Ottawa le mardi 28 juillet

                        2) Organisation de la manifestation à Ottawa (Un autobus partira de Montréal à 8h30)

 

URGENTE:  1) Petición a ser presentada en la Camara de los Comunes en Ottawa el martes 28 de julio

                       2) Organización de la manifestación en Ottawa (Un bus partirá de Montreal a las 8:30)

 

Comme nous l'avons décidé à notre réunion du 21 juillet (voir procès-verbal envoyé plus tôt), nous vous faisons parvenir, ci-joint, la pétition en français et en espagnol qui sera remise à des députés du Nouveau Parti démocratique et à des membres du Parlement du Canada d'autres partis politiques.

Comme nous l'avons également décidé, chacune et chacun de nous essaiera de recueillir le plus grand nombre de signatures avant la manifestation.

Nous vous suggérons d'imprimer la pétition ci-joint et de recueillir le plus de signatures possibles sur une feuille blanche de grand format (8,8 par 14),

en inscrivant au sommet de la feuille :   Nom  / Nombre :            Signature / Firma :                  Adresse / Dirección :          Code postal / Codigo postal :

Nous remettrons la pétition lors de la manifestation que nous organisons et qui aura lieu le mardi le 28 juillet, à Ottawa, devant le Parlement.

Un autobus loué par un syndicat nous transportera gratuitement.  Il partira matin mardi le 28 juillet à 8h30 devant la sortie Ste-Catherine station de métro Atwater.

Il est important que vous nous envoyiez les noms des personnes qui iront en autobus à Ottawa.

Écrivez-nous à l'adresse électronique suivante : pueblo@sympatico.ca ou téléphonez-nous : (514) 737-7817

 

Como se decidió en la reunión celebrada el 21 de julio (véase el acta que se envió anteriormente), adjuntamos la petición en francés y español que se entregará firmada a los miembros del Nuevo Partido Democrático y posiblemente a parlamentarios de otros partidos políticos.
Como también hemos decidido, cada uno de nosotros tratará de reunir el mayor número de firmas antes del evento.
Le sugerimos que imprima la petición adjunta y reuna el mayor numero de firmas posible en una hoja en blanco de gran formato (8,8 por 14)
colocando en la parte superior de la hoja:  

Nom/nombre                        Signature/firma                          Adresse/Direccion                         Code postal/codigo postal

Vamos entregar la petición en la manifestación  que se hará en Ottawa el martes 28 de julio frente al Parlamento Canadiense.
Un autobús alquilado por un sindicato nos llevara gratuitamente. Par ir, hay que estar  el martes 28 de julio a las 8:30 de la mañana en la estación de metro Atwater en la salida sobre la calle Sainte-Catherine, donde estará parqueado el bus.
Es importante que nos envíe los nombres de las personas que van ir en autobús a Ottawa.
Para ello escríbanos a la siguiente dirección: pueblo@sympatico.ca o llámenos: (514) 737-7817

 

 

PÉTITION À REMETTRE À LA CHAMBRE DES COMMUNES DU CANADA

 

APPEL AU GOUVERNEMENT CANADIEN POUR QU'IL EXIGE LE RETOUR IMMÉDIAT DU PRÉSIDENT LÉGITIME DU HONDURAS, JOSÉ MANUEL ZELAYA, À SES FONCTIONS

 

ATTENDU QUE le président légitimement élu du Honduras, José Manuel Zelaya, n'a, par ses actions, violé en aucune façon la Constitution hondurienne puisqu'il n'a pas convoqué de référendum mais qu'il a procédé à une consultation de l'opinion publique qui n'avait pas de caractère contraignant ou obligatoire, et donc pas de pouvoir de décision, puisque cette consultation n'aurait pu que difficilement imposer la réélection étant donné que tels n'étaient ni la question ni le but de la consultation, et que les conséquences décriées par l'opposition ne sont que des hypothèses;

 

ATTENDU QUE sous prétexte de défendre la Constitution, le Congrès du Honduras, le gouvernement «de facto» de Roberto Micheletti, les militaires et les tribunaux ont violé, à tous les points de vue (juridique, politique et moral), la Constitution en vigueur.  Premièrement parce que, bien qu'à l'Article 102, la Constitution interdise aux autorités honduriennes d'expatrier un citoyen du Honduras ou de le remettre à un État étranger.  L'expulsion de Zelaya est donc inconstitutionnelle.  Deuxièmement parce que même si la Constitution établit la subordination hiérarchique des forces armées au pouvoir légitimement constitué, lorsque le président a destitué le chef de l'état-major (général Romeo Vásquez Velásquez) parce qu'il avait refusé de se conformer à l'ordre du Pouvoir exécutif, les Pouvoirs judiciaire et législatif ont ignoré la subordination hiérarchique des forces armées au pouvoir légitimement constitué et ont ordonné a réintégration du général à ses fonctions et à son poste au sein des forces armées, désobéissant ainsi au Pouvoir exécutif.  Parce que le Conseil de commandement, qui comprend les chefs des trois armes, ainsi que l'inspecteur général et le chef de l'état major conjoint, se sont joints à l'alliance d'opposition au président et ont exécuté le coup d'État dans la matinée du 28 juin;

 

ATTENDU QUE: es Forces armées honduriennes continuent d'exercer la violence, qu'elles continuent de frapper, de persécuter et de tuer des citoyennes/ens sans défense alors que ces derniers manifestent pour s'opposer au coup d'État et pour demander le retour du président démocratiquement élu à ses fonctions au Honduras; attendu qu'elles ont forcé les médias opposés au coup d'État à se soumettre, ce qui a conduit à la désinformation et à l'absence d'information sur ce qui se passe; attendu qu'elles procèdent à l'écoute téléphonique, à la détention de fonctionnaires, à l'interruption du courant électrique, à l'imposition du couvre-feu et qu'elles s'auto proclament "défenseurs de la nation", alors que tous ces faits constituent une grave violation des droits de la personne et de la démocratie, qui sont basés sur le respect de la vie, de la liberté d'expression et de mouvement, et de la liberté des peuples à élire et à être élus.

 

ATTENDU QUE : le Congrès hondurien a pris des décisions illégales en produisant, dans le but de créer un vide du pouvoir et de justifier le remplacement du président, un faux document daté du 25 juin en falsifiant la signature du président Zelaya, pour essayer de faire croire que ce dernier avait démissionné de ses fonctions, alors qu'il était toujours dans le plein exercice du pouvoir; attendu que ces faits s'ajoutent aux autres délits de nature pénale qui renforcent les preuves qu'il y a eu renversement du président constitutionnel.  L'illégitimité d'un gouvernement ne peut maintenant se légaliser sur de prétendus formalismes, mis de l'avant par leurs défenseurs, qui essaient de cacher les caractéristiques d'un coup d'État en affirmant que les trois pouvoirs (exécutif, législatif et judiciaire) existent encore, que l'ordre constitutionnel n'a pas été détruit, qu'il n'y a pas de militaires à la tête des institutions de l'État.  C'est un fait prouvé que les forces armées honduriennes n'ont pas obéi au Pouvoir exécutif, qu'elles ont été complices de la rupture de l'ordre constitutionnel, qu'elles maintiennent aujourd'hui cette situation de rupture aujourd'hui et qu'elles le défendent encore contre la décision démocratique du peuple hondurien;

 

ATTENDU QUE les intérêts économiques du Canada ne peuvent primer sur les principes que sa propre Constitution proclame, et attendu qu'il est maintenant de notoriété publique que 30% du territoire hondurien est exploité en vertu de concessions du Honduras à des compagnies minières étrangères, particulièrement canadiennes, et que le gouvernement du président Zelaya a annoncé qu'il ne renouvellerait pas ces concessions au cour de son mandat;

 

PAR CONSÉQUENT les signataires de la présente pétition demandent instamment au Parlement canadien d'exiger le retour immédiat du président Zelaya, étant donné que le coup d'Etat qui a renversé le président légitimement élu et qui a rompu l'ordre constitutionnel et la primauté du droit dans ce pays, qui a enlevé et expulsé le président Zelaya constituent des actes illégaux.  Nous demandons au Canada d'honorer sa tradition démocratique et de ne pas assumer une position ambiguë, qui pourrait être comprise comme une justification du coup d'État survenu au Honduras et comme une tentative de protéger les intérêts économiques des compagnies en dépit du droit et, nous demandons, par conséquent, au Canada de mettre en œuvre les sanctions qui sont prévues pour les gouvernements putschistes par les instances internationales dont le Canada fait partie.

 

FRONT LARGE CONTRE LE COUP D'ÉTAT AU HONDURAS

5430, av. Trans Island, Montréal (Qc) Canada H3W 3A5

Tél. : (514) 737-7817 - Courriel : pueblo@sympatico.ca

 

 

PETICIÓN A LA CAMARA DE LOS COMUNES DE CANADÁ

 

LLAMADO PARA QUE EL GOBIERNO CANADIENSE EXIJA LA RESTITUCIÓN INMEDIATA DEL PRESIDENTE JOSÉ MANUEL ZELAYA COMO MANDATARIO LEGÍTIMO DE HONDURAS

 

CONSIDERANDO: que las acciones del Presidente José Manuel Zelaya de Honduras no violaron la Constitución nacional hondureña porque nunca convocó a un referendo sino a una consulta de opinión, sin carácter vinculante ni obligatoria, por tanto sin poder decisorio, que difícilmente podría haber determinado la reelección ya que esa no era la pregunta ni el objeto de la consulta y que cualquier repercusión de la misma esta basado sobre supuestos

 

CONSIDERANDO: que, argumentando pretender defender la Constitución, el Congreso hondureño, el gobierno de facto de Roberto Micheletti, las fuerzas militares y los tribunales de justicia violaron la Constitución vigente, desde todos los puntos de vista - jurídico, político y moral: Primero porque el Artículo 102 prohíbe que los ciudadanos de Honduras sean expatriados o entregados por las autoridades de su país a un Estado extranjero, la expulsión del presidente Zelaya es completamente inconstitucional. Segundo, porque la Constitución vigente en Honduras establece la subordinación jerárquica de las Fuerzas Armadas al poder legítimamente constituido. El Presidente de la República, había destituido al Jefe del Estado Mayor Conjunto, General Romeo Vásquez Velásquez, por negarse a cumplir una orden del Ejecutivo, el Poder Judicial y el Poder Legislativo desconociendo esta facultad constitucional, ordenaron su restitución y solicitaron la inclusión de las fuerzas armadas en la desobediencia al Ejecutivo.  La Junta de Comandantes, constituida por los Jefes de las tres fuerzas y por el Inspector General, además del propio Jefe del Estado Mayor Conjunto, decidió involucrarse en la confrontación tomando partido por la alianza opositora y ejecutando el golpe de Estado de la mañana de 28 de junio;

 

CONSIDERANDO: La violencia continua ejercida  por las Fuerzas Armadas hondureñas, matando, persiguiendo y golpeando a los ciudadanos indefensos que se manifiestan para rechazar el golpe de Estado, y solicitar la restitución del presidente elegido democráticamente en este país. El sometimiento de los medios de comunicación opuestos al golpe, que generó la desinformación, y la ausencia de información sobre lo que estaba ocurriendo. La intervención de teléfonos, la detención de funcionarios, la interrupción del fluido eléctrico, el intento de controlar la comunicación electrónica, la implantación de un toque de queda  y la auto-proclamación como defensores de la nación, hechos todos que representa una violación  grave de los derechos humanos, y de la democracia que se soporta en el respeto a la vida, a la libre expresión y movilización, y en la libertad de los pueblos para elegir y ser elegidos.

 

CONSIDERANDO: La ilegalidad de las decisiones del Congreso hondureño que pretendieron generar un vacío de poder y  justificar una sustitución del Presidente,  basados en  una supuesta renuncia  que lleva la falsificación de la firma del presidente  Zelaya y que tiene fecha del 25 de junio cuando el presidente aun estaba en pleno ejercicio de su cargo. Estos hechos  consolidan la figura del derrocamiento, además de otros delitos de índole penal. La iligitimidad de un gobierno no puede ahora legalizarse sobre supuestos formalismos que argumentan  sus defensores, y que intentan disfrazar las características claras de un golpe de Estado, bajo preceptos de que aún  siguen existiendo los tres poderes, no se ha roto el orden constitucional y no hay militares al frente de las instituciones del Estado, cuando es un hecho probado que las Fuerzas Armadas hondureñas, desacataron al Ejecutivo  se volvieron cómplices del rompimiento del orden constitucional , y hoy lo mantienen y lo defienden en contra de la decisión democrática del pueblo hondureño;

 

CONSIDERANDO: Que los intereses económicos del Canadá no pueden estar por encima de los principios que su propia Constitución defiende ya que es de conocimiento público  que actualmente el 30 % del territorio hondureño está siendo explotado por las concesiones a empresas mineras extranjeras, especialmente canadienses y que el gobierno del presidente Zelaya había anunciado no serían renovadas bajo su mandato;

 

POR CONSIGUIENTE: Los peticionarios instan al parlamento a solicitar el reintegro inmediato del presidente Zelaya sobre la base de que ha sido un golpe de Estado que derrocó al presidente legítimamente elegido y ha roto el orden constitucional y el Estado de Derecho en este país, que el secuestro y expulsión del presidente Zelaya es ilegal.  Pedimos que el Canadá haga honor a su tradición democrática y no asuma una posición ambigua que pueda entenderse como una justificación del golpe de Estado en Honduras para proteger sus  intereses económicos y en consecuencia aplique las sanciones que están previstas para los gobiernos golpistas.en los organismos internacionales, de los cuales hace parte,

 

FRENTE AMPLIO CONTRA EL GOLPE DE ESTADO EN HONDURAS

5430, av. Trans Island, Montréal (Qc) Canada H3W 3A5

Tel.: (514) 737-7817 - e-mail: pueblo@sympatico.ca

 

 




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