jeudi 9 août 2012

Ce samedi - 12 raisons de descendre dans les rues de Montréal-Nord



From: Antonio Artuso
Sent: Saturday, October 11, 2008 4:46 AM
To: 00-artusoantonio
Subject: Ce samedi - 12 raisons de descendre dans les rues de Montréal-Nord





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----- Original Message -----
From: Marianne Breton Fontaine
Sent: Friday, October 10, 2008 8:34 PM
Subject: 12 raisons de descendre dans les rues de Montréal-Nord

[SVP diffusez!!]
dsl pour ceux et celle qui le recoivent deux fois.


12 raisons de descendre dans les rues de Montréal-Nord

[Personne n'est illégal Montréal]
Rappel: le point de départ de la manifestation est le Parc Pilon, coin Henri-Bourassa et Pie-IX, à 14h ce SAMEDI le 11 OCTOBRE.

Ce samedi à 14 h, une foule diversifiée, représentant plusieurs segments de la population et des groupes populaires de Montréal, se rassemblera au Parc Pilon de Montréal-Nord pour dénoncer la brutalité policière, et ce, dans le cadre d'une manifestation à caractère familial. Cette manifestation revêt une très grande importance pour tous ceux et toutes celles qui luttent au quotidien CONTRE la pauvreté, le racisme et la brutalité policière, et POUR l'autonomie, l'organisation populaire, la justice et la dignité.

Cette mobilisation survient seulement deux mois après le meurtre de Fredy Villanueva à Montréal-Nord, un an après la mort par taser de Quilem Registre à Saint-Michel, et un peu moins de trois ans après la mort (toujours inexpliquée) d'Anas Bennis à Côte-des-Neiges. Elle survient par ailleurs dans un contexte où 43 personnes ont été tuées, par balle, électrocution ou bastonnade, par la police de Montréal au cours des 21 dernières années.

Les groupes et individus qui organisent la manifestation de samedi portent trois revendications principales: 1) une enquête publique et indépendante sur la mort de Fredy Villanueva; 2) la fin du profilage racial, des abus et de l'impunité policière; et 3) la reconnaissance du principe selon lequel tant qu'il y aura des inégalités économiques, il y aura de l'insécurité sociale.

Voici douze raisons de plus de descendre dans la rue ce samedi pour manifester. Veuillez publier ce texte et le distribuer largement, et faites tout ce que vous pouvez, AUJOURD'HUI (vendredi), pour encourager le plus grand nombre possible de vos parents, amiEs et connaissances à participer à la manifestation de samedi à Montréal-Nord.

Police partout, justice nulle part!

Douze raisons de descendre dans les rues de Montréal-Nord

1) Briser la peur et l'isolement; 2) Confronter la politique de « diviser pour mieux régner » – 1è partie; 3) Dénoncer et contester les enquêtes policières… sur la police!; 4) Dénoncer les tentatives de la police d'entraver la transparence publique; 5) Dénonçons la diffamation des victimes par la police et les médias; 6) Les 43 raisons; 7) Les émeutes de Montréal-Nord étaient justifiées; 8) Accommode donc ça!; 9) Confronter la politique de « diviser pour mieux régner » – 2è partie; 10) Dénoncer les « gardiens communautaires » vendus; 11) Soutenons les efforts d'organisation de la base; 12) Pour un pouvoir populaire


Première raison : Briser la peur et l'isolement

Il n'est ni simple ni facile de confronter la brutalité et l'impunité policières. En tant que bras armé de l'État, la police dispose d'un énorme pouvoir. Chacun de leur côté, les individus vivent quotidiennement les abus policiers, la brutalité et le profilage racial, mais ont souvent peur de s'exprimer contre les abus de pouvoir. Quand nous choisissons de le faire, nous ne disposons pas des ressources nécessaires pour affronter efficacement la police et le gouvernement, et nous nous retrouvons marginalisés autant par les groupes dominants que par les « faux jetons » communautaires payés par le gouvernement. La manifestation de samedi est une occasion exceptionnelle de nous rassembler, de défaire collectivement les barrières invisibles entre nous, de briser la peur et l'isolement qui nous étouffent trop souvent, et de nous tenir debout ensemble pour porter des revendications justes et légitimes.


Deuxième raison : Confronter la politique de « diviser pour mieux régner » – 1è partie

Jeudi dernier (le 9 octobre), le Journal de Montréal titrait en manchette « Les agitateurs s'en mêlent ». Cette sortie constitue une tentative à peine voilée, de la part de la police et de leurs alliés au sein des médias capitalistes, de créer une division entre les différents groupes qui se sont unis pour dénoncer la brutalité policière. Le fait est que la police et les représentants du gouvernement craignent l'émergence d'une véritable unité entre les groupes luttant pour la justice sociale sur le terrain et les divers mouvements populaires et communautaires qui se sont réunis pour soutenir les revendications de la manifestation de samedi. Montrons aux bobardiers jaunes du Journal de Montréal, et à leurs amis de la police, que nous refusons d'être divisés.


Troisième raison : Dénoncer et contester les enquêtes policières… sur la police!

Le maire Tremblay, ainsi qu'un assortiment de politiciens et de soi-disant leaders, invite constamment la population à retenir son jugement sur l'affaire Villanueva jusqu'à ce que les résultats de l'enquête soient rendus publics. Mais les enquêtes portant sur des meurtres commis par des policiers sont toujours menées par un autre corps policier. Nous sommes censés faire confiance à la Sûreté de Québec (SQ) pour enquêter de façon impartiale sur la police de Montréal. Il s'agit de la même SQ qui, à plusieurs reprises, hier comme aujourd'hui, s'est avérée corrompue et déloyale : de l'Affaire Matticks, où les policiers furent impliqués dans des activités illégales, aux récentes manifestations à Montebello, où la SQ avait infiltré des agents provocateurs pour ensuite mentir publiquement sur la nature de leur opération. C'est la même SQ qui, il y a quelques jours à peine, n'a pas hésité à employer des gaz lacrymogènes et du poivre de Cayenne pour violemment réprimer une manifestation légitime de quelques dizaines d'Algonquins (y compris des enfants!) à Lac Barrière, dans le Parc de la Vérendrye. Il existe entre les policiers un esprit de « fraternité », similaire à l'omerta qui règne dans la mafia, qui les empêche de traiter et punir justement les méfaits commis par leurs confrères et les incite à se protéger les uns les autres.


Quatrième raison : Dénoncer les tentatives de la police d'entraver la transparence publique

Lorsque des enquêtes un tant soit peu indépendantes sont menées pour faire la lumière sur des meurtres policiers, les flics font tout ce qu'ils peuvent pour les saboter. Près de trois ans après le meurtre de Mohamed Anas Bennis, et après une longue campagne de pression menée par la famille Bennis, une enquête judiciaire a finalement été commandée pour éclaircir les circonstances entourant la mort du jeune homme. Cependant, la Fraternité des policiers et policières du Québec a décidé de poursuivre en justice le coroner et la famille Bennis pour empêcher que l'enquête n'ait lieu. Les policiers, avec leurs avocats grassement payés, ont toujours systématiquement cherché à saboter tous les efforts, même les plus modestes, visant à combattre l'impunité et à les rendre responsables de leurs méfaits.


Cinquième raison : Dénonçons la diffamation des victimes par la police et les médias

Récemment, l'avocat de Giovanni Stante, un agent de la police de Montréal impliqué dans le meurtre de Jean-Pierre Lizotte en 1999, a fait paraître une lettre dans la Presse et la Gazette, dans laquelle il écrivait que Lizotte n'a pas été victime de brutalité policière. L'essentiel de la lettre visait manifestement à salir la réputation de ce dernier. Lizotte n'est plus là pour se défendre, mais cela n'empêche pas les avocats des flics (et les médias) de diffamer des personnes qui ont été tuées par la police. Des qu'en-dira-t-on et des rumeurs ont aussi été utilisés contre d'autres victimes de brutalité policière. La manifestation de samedi est l'occasion de montrer notre solidarité avec ceux qui ont été abattus, puis diffamés par la police.


Sixième raison : Les 43 raisons

Anthony Griffin, Jose Carlos Garcia, Yvon Lafrance, Leslie Presley, Paul McKinnon, Jorge Chavarria-Reyes, Fabien Quienty, Yvan Dugas, Marcellus François, Armand Fernandez, Osmond Fletcher, Trevor Kelly, Yvon Asselin, Richard Barnabé, Paolo Romanelli, Martin Suazo, Philippe Ferraro, Nelson Perreault, Daniel Bélair, Michel Mathurin, Richard Whaley, Yvan Fond-Rouge, Jean-Pierre Lizotte, Luc Aubert, Sébastien McNicoll, Michael Kibbe, Michel Morin, Michel Berniquez, Rohan Wilson, Benoît Richer, Mohamed Anas Bennis, Quilem Registre, Fredy Villaneuva .. et dix autres personnes dont le nom demeure inconnu. Ensemble, ce sont les 43 personnes tuées par la police de Montréal au cours des 21 dernières années. La marche de samedi est dédiée à toutes les victimes et survivantEs de la brutalité policière.


Septième raison : Les émeutes de Montréal-Nord étaient justifiées

La manifestation de samedi sera à caractère familial. Elle permettra à toute sorte de personnes, issues de plusieurs segments de la communauté, de se rassembler pour dénoncer la brutalité policière. Mais cela ne signifie pas que nous devrions éviter de répéter que le soulèvement de la communauté qui a eu lieu suite au meurtre de Fredy Villanueva, en août dernier, était parfaitement justifié. Les politiciens et les médias ont vraiment travaillé fort pour essayer de marquer une division entre les « bons manifestants » (les « gardiens communautaires » qui restent dociles et inoffensifs) et les « mauvais manifestants » (celles et ceux qui passent à l'action directe). La manifestation de samedi est une façon de démontrer clairement notre solidarité avec tous les résidents de Montréal-Nord, y compris les émeutes qui furent une expression justifiée de notre colère et de notre rage collective contre la brutalité policière.


Huitième raison : Accommode donc ça!

Pendant les « débats » xénophobes sur les prétendus accommodements raisonnables au Québec, on a plus ou moins demandé aux immigrants de justifier leur présence au Québec. Un policier de Montréal à même eu l'audace d'enregistrer une chanson (qu'on a pu entendre sur YouTube) invitant les personnes issues de groupes minoritaires à « crisser leur camp » et à « retourner chez eux ». Le soi-disant débat sur les accommodements raisonnables n'a servi qu'à obscurcir les vrais enjeux et à défaire l'unité et la solidarité que nous partageons, en tant que travailleurs et travailleuses, pauvres, immigrants et immigrantes, personnes queer et trans et autres groupes minoritaires, dans la lutte pour une véritable justice sociale. Ce faux débat nous a écarté de la lutte unifiée contre la pauvreté, la précarité, le racisme et le profilage racial. La manifestation de samedi est aussi l'occasion de dire aux éléments racistes et xénophobes de la société québécoise, parfaitement représentés par les flics : Accommodez donc ça! (c.-à-d., allez donc vous faire foutre!)


Neuvième raison: Confronter la politique de « diviser pour mieux régner » – 2è partie

Dans leurs tactiques sales visant à diviser pour régner, les flics ont visité plusieurs organismes communautaires pour leur demander s'ils sont impliqués dans l'organisation de la manifestation. Plusieurs organismes de la communauté se sont clairement positionnés contre les abus policiers, et la réponse du SPVM a été de recourir à l'intimidation et de répandre des ragots pour diaboliser certains manifestants prétendument radicaux. Nous devons dénoncer de telles tactiques policières visant à marginaliser les groupes et individus qui, par principe, s'opposent à l'impunité policière.


Dixième raison : Dénoncer les « gardiens communautaires » vendus

Tous les paliers de gouvernement fournissent des sommes substantielles d'argent à des organismes soi-disant communautaires pour qu'ils soient en mesure d'offrir certains services de base. L'un des principaux « services » de ces organismes est d'agir à titre de « gardiens » de la communauté pour empêcher ou saboter toute forme d'organisation de la base en faveur de la justice. Les soi-disant « tables de concertation » présentes dans plusieurs quartiers de la ville (financées par la Ville de Montréal), ou les coalitions bidon comme « Solidarité Montréal-Nord » (également mise sur pied par la Ville) n'existent en fait que pour noyer le poisson et atténuer le sens des revendications très claires énoncées par les membres de la communauté pour refléter leurs réalités. Ces « gardiens » dociles se refusent à dénoncer clairement le racisme, le profilage racial et la brutalité policière. Ils ont pris un rôle d'avant plan, après la mort de Fredy Villanueva, en dénonçant la « violence » sans jamais, pourtant, dénoncer clairement la violence policière. Ces groupes n'ont aucun problème à s'afficher avec des politiciens comme Marcel Parent, Gérard Tremblay ou Denis Coderre. Ces groupes sont en fait des terreaux fertiles pour les futurs politiciens, tous partis confondus, qui vont poursuivre leur carrière en ce sens et continuer à nous fourrer d'une façon ou d'une autre. La manifestation de samedi est hors de la portée des dociles « gardiens communautaires », et c'est précisément ce qui dérange tellement les flics et les politiciens! Énervons-les encore plus en nous mobilisant en grands nombres!


Onzième raison : Soutenons les efforts d'organisation de la base

Contrairement aux organismes communautaires bidon (financés par le gouvernement) et leurs petits amis politiciens, plusieurs individus et collectifs sont engagés dans divers efforts d'organisation communautaire autonomes, fondés sur les revendications qui ressortent des réalités vécues dans les communautés pauvres et marginalisées. Ce type d'organisation est loin d'être facile. Nous avons peu de ressources et, à travers nos efforts quotidiens pour survivre, il est parfois difficile de trouver le temps nécessaire à la mobilisation. Pourtant, plusieurs réseaux de base, particulièrement Montréal-Nord Républik et Mères et Grand-mères pour la vie et la justice, ont courageusement pris la parole pour dénoncer clairement et ouvertement l'impunité policière.


Douzième raison : Pour un pouvoir populaire

Notre véritable pouvoir réside dans notre capacité à nous unir, à rompre la peur et l'isolement, à nommer notre ennemi commun et à le confronter, unis dans nos convictions pour la justice sociale et la dignité. La manifestation de samedi est vraiment autonome, au-delà de la portée des faux jetons communautaires et des politiciens. Cette manifestation répond directement aux revendications que nous portons et sentons en nous au jour le jour. Cette initiative est un modèle que nous devrions suivre pour continuer à nous organiser ensemble, dans nos communautés et dans l'union de nos diverses communautés. Ce n'est qu'un début ...

Colombie - violence socio-politique - 7 morts par jour depuis 2002


From: Antonio Artuso
Sent: Wednesday, December 10, 2008 4:01 PM
To: 00-artusoantonio
Subject: Colombie - violence socio-politique - 7 morts par jour depuis 2002




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[FRANÇAIS][ESPAÑOL]


Agence France-Presse :

Colombie : Sept morts par jour depuis 2002 en raison de la violence socio-politique

Depuis 2002, sept personnes par jour ont été tuées en Colombie en raison de la violence socio-politique, sans compter celles dues à la violence des combats, ont réaffirmé mardi, à Genève, plusieurs ONG à la veille d'un débat [qui aura lieu aujourd'hui] sur la situation de ce pays par le Conseil des droits de l'homme de l'Organisation des Nations Unies (ONU).

«Sept personnes ont été tuées ou ont été portées disparues chaque jour par la violence socio-politique en Colombie», a déclaré Gustavo Gallón, président de la Commission colombienne de juristes (CCJ) à une rencontre avec la presse au siège de Genève de l'ONU.

«Plus de 14 000 personnes sont mortes ou ont été portées disparues pour des raisons socio-politique» depuis la mi-2002, date à laquelle l'actuel président Alvaro Uribe a assumé le pouvoir, a déclaré Gallón.  Ce dernier y assistera mercredi [aujourd'hui] dans le cadre de l'Examen périodique universel (EPU) auquel sera soumise la Colombie.
Selon Gallón, les deux aspects qui montrent le mieux la «gravité» de la situation en Colombie sont «le niveau élevé de violations des droits de la personne depuis 2002» et «les attentats contre la justice».
«Deux mille sept cent syndicalistes ont été tués ou ont été portés disparus au cours des 22 dernières années» a déclaré Gallón.  «Cette année seulement, 40 ont été tués, et depuis 2002, plus de 480», a-t-il dit avant de se référer à un accord conclu entre le gouvernement et l'Organization internationale du Travail (OIT) pour accélérer les enquêtes.
Mais «au rythme actuel où se déroulent les travaux (...) pour enquêter sur les 2 700 cas, il faudrait 60 années» a déploré l'avocat colombien avant de souligner que «l'aspect le plus grave sur cette question est l'impunité».

Gallon a dénoncé la «stigmatisation permanente» que sont l'objet les défenseurs des droits de la personne «par le gouvernement et par le président, qui les accusent d'appuyer les activités terroristes» et a dit que 75 d'entre eux sont morts ou ont été portés disparus depuis 2002.
Eric Sottas, directeur de l'Organización mondiale contra la tortura (OMCT) a déclaré que la situation des droits de la personne en Colombie es «extrêmement grave» et il a pressé le Conseil des droits de la personne de l'ONU de «mettre l'accent sur les mesures à adopter et non sur un rapport cherchant le consensus» sur la situation du pays.

Agence France-Presse :

Colombia: siete muertos diarios desde 2002 por violencia sociopolítica

Siete personas por día murieron en Colombia desde 2002 por violencia sociopolítica fuera del combate, reafirmaron el martes en Ginebra varias ONG, en vísperas de un debate sobre la situación en ese país por el Consejo de Derechos Humanos de la ONU.
"Siete personas han sido asesinadas o desaparecidas por día por la violencia sociopolítica en Colombia", aseguró Gustavo Gallón, presidente de la Comisión Colombiana de Juristas (CCJ) en un encuentro con la prensa en la sede ginebrina de la ONU.
"Más de 14.000 personas murieron o fueron desaparecidas fuera de combate por razones sociopolíticas" desde mediados de 2002, cuando asumió el actual presidente Alvaro Uribe, precisó Gallón, que el miércoles asistirá al debate en el marco del Examen Periódico Universal (EPU) al que será sometida Colombia.
Según Gallón, los dos aspectos que muestran la "gravedad" de la situación en Colombia son "el alto nivel de violaciones a los derechos humanos desde 2002" y los "ataques contra la justicia".
"Dos mil setecientos sindicalistas fueron asesinados o desaparecieron en los últimos 22 años", puntualizó Gallón. "Este año solamente unos 40 han muerto y desde 2002, más de 480", agregó antes de referirse a un acuerdo alcanzado entre el gobierno y la Organización Internacional del Trabajo (OIT) para acelerar las investigaciones.
Pero, "al ritmo que van (...) para investigar los 2.700 casos, se necesitarán 60 años", lamentó el letrado colombiano, antes de enfatizar que "lo más grave en este caso es la impunidad".
Gallón denunció la "estigmatización permanente" de que son objeto los defensores de los derechos humanos "por parte del gobierno y del presidente que los acusan de ser apoyo de actividades terroristas" y aseguró que 75 de ellos han muerto o desaparecido desde 2002.
Eric Sottas, director de la Organización Mundial contra la Tortura (OMCT) consideró que la situación de los derechos humanos en Colombia es "extremadamente grave" e instó al Consejo de Derechos Humanos de la ONU a "poner el acento en las medidas a adoptar y no en un informe consensuado" sobre la situación en ese país.



ACN DISCOURS DE BIENVENUE OFFICIELLE A L’OCCASION DU TROISIEME SOMMET CARICOM, SANTIAGO DE CUBA.

----- Original Message -----
From: "Correo Frances" <frenchnews@ain.cu>
To: "Frances List Member" <roger.romain@skynet.be>
Sent: Monday, December 08, 2008 3:48 PM
Subject: ACN DISCOURS DE BIENVENUE OFFICIELLE A L'OCCASION DU TROISIEME SOMMET CARICOM, SANTIAGO DE CUBA.

DISCOURS DE BIENVENUE OFFICIELLE A L'OCCASION DU TROISIEME SOMMET
CARICOM, SANTIAGO DE CUBA.


Excellences, Messieurs les Chefs d'état et du gouvernement des pays de
la communauté de la Caraïbe.

Distingués invités :

Je tiens à vous accorder la plus cordiale bienvenue dans notre Patrie à
la vieille du troisième sommet Cuba CARICOM et au même temps je vous
transmets une salutation chaleureuse du camarade Fidel.

Demain, nous fêtons le 36ème anniversaire de la journée où 4 nations de
la Caraïbe ont fait un pas audacieux pour établir des rapports
diplomatiques avec Cuba. L'importance de cet événement a eu pour nous
des dimensions historiques et stratégiques.

Ainsi, nous avons commencé les relations formelles de Cuba avec les
nations qui intégreront plus tard la CARICOM. C'était le début des liens
de solidarité et fraternité qui ont supporté le preuve du temps.

Il est précis de rappeler le contexte historique de cet événement. Nous
avons signé de façon simultanée, les relations diplomatiques avec la
Barbade, le Guyane et Trinité et Tobago, Cuba se trouvait isolé du point
de vue diplomatique du reste du continent. D'une part, nous avions des
liens étroits avec quasi tous les peuples de l'hémisphère, nous en
bénéficions seulement des rapports diplomatiques avec le Mexique, le
Chili, le Pérou et le Canada. La plus part des gouvernements de la
région, sous pression des EEUU, avait rompue leurs liens avec Cuba.
………………………………
Aujourd'hui, nous sommes face á une autre réalité. Cuba maintient des
relations diplomatiques avec 30 sur 32 pays de l'Amérique latine et la
Caraïbe. Nous sommes loin des moments où il a été possible isoler Cuba.
Les gouvernements de ces quatre pays et leurs leaders, ont fait un
apport remarquable à la région dont nous tous partageons.


Je tiens donc à profiter de ce moment d'amitié et de fraternité entre
les caribéens, pour rendre hommage à cet événement du 8 décembre 1972
ouvrant un nouveau chapitre transcendantale dans l'histoire de Cuba et
de la Caraïbe.

Rendons nous hommage à la mémoire d'Errol Barrow, Michael Manley, Forbes
Burnham et Erice Williams.

Saluons nous la « Journée Cuba-CARICOM.

Je vous remercie
…………………………..



CANADA: le QUEBEC résiste .... Les jeunes étudiants en tête ... c-

Sent: Saturday, May 26, 2012 1:34 PM
Subject: LML 24 mai: Les partisans de la hausse des frais de scolarité et de la loi 78 continuent de s'enliser dans la crise
Numéro 62 - 24 mai 2012

Les partisans de la hausse des frais de scolarité et de la loi 78 continuent de s'enliser dans la crise


Des milliers d'étudiants et supporters manifestent chaque soir dans les rues de Montréal à la défense de leurs droits
et pour défier la loi spéciale et l'intimidation policière. (McGill Daily)

Les partisans de la hausse des frais de scolarité et de la loi 78continuent de s'enliser dans la crise - Serge Lachapelle
La ministre de l'Éducation invite les étudiants à négocier à condition qu'ils renoncent à leurs revendications
23 mai: des arrestations de masse pour tester la loi spéciale
Montréal répond à la loi spéciale: des manifestations partout sur l'île
Les chauffeurs d'autobus ont le droit de dire non, dit le syndicat

Au Canada et à l'étranger

Les expressions d'appui aux étudiants du Québec fusent de toute part


===
http://www.cpcml.ca/francais/index.html
ABONNEMENT: Vous ou quelqu'un d'autre avez demandé que votre adresse soit ajoutée à la liste d'envoie du LMLQ. Si vous désirez que votre adresse soit retirée, de la liste, écrivez à postmaster@cpcml.ca

Washington a rédigé une nouvelle constitution pour la Syrie [Réseau Voltaire]

Dr. Ghada El Yafi
----- Mail transféré -----
De : Elizabeth Rebeiz <elizabeth.rebeiz@...

Envoyé le : Dimanche 22 juillet 2012 1h57
Objet : Washington a rédigé une nouvelle constitution pour la Syrie [Réseau Voltaire]

Washington a rédigé une nouvelle constitution pour la Syrie

Depuis janvier, un groupe d'une quarantaine d'exilés syriens se réunit secrètement place de l'église Saint-Louis à Berlin, dans les locaux de la Stiftung Wissenschaft und Politk. Si cette fondation est financée par le patronat allemand, les réunions le sont par les départements US d'État et de la Défense. Elles sont présidées par Steven Heydemann, un double national US-Israélien, qui a longtemps travaillé pour la CIA [1], avant de devenir chercheur à l'US Institute of Peace. Cet organisme, qui fournit le cadre officiel des réunions est —contrairement à ce que pourrait laisser supposé son intitulé— un paravent du Pentagone [2]. Non sans surprise, le ministère suisse des Affaires étrangères est associé à ce projet.
Le programme est intitulé « Le jour d'après. Soutenir une transition démocratique en Syrie » [3]. Dans le vocabulaire orwellien de Washington, « transition démocratique » signifie le passage du président élu et plébicité par le peuple syrien Bachar el-Assad à un président choisi par les puissances occidentales ; et l'expression « jour d'après » désigne la période suivant le renversement du régime syrien par ces mêmes puissances occidentales.
Alors que les Syriens approuvaient par référendum une nouvelle constitution [4], le groupe de travail en rédigeait une autre. Il définissait aussi ce que serait la politique du futur gouvernement syrien. Le document final a été présenté par la secrétaire d'État US, Hillary Clinton, au président du Conseil national syrien, Abdel Bayset Sayda, lors de la 3e conférence des Amis de la Syrie à Paris, le 6 juillet. M. Sayda a accepté de mettre en œuvre cette « feuille de route ».


Sent from my iPad



Un évènement ce 03 juin 2012 sur toutes les chaînes télévisées, y compris "républicaines" françaises: l' ANGLETERRE fête 60 années d'un trône féodal ... RoRo

Un évènement ce 03 juin 2012 sur toutes les chaînes télévisées, y compris "républicaines" françaises: l' ANGLETERRE fête 60 années d'un trône féodal ...     RoRo

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