samedi 16 mars 2013

Qui était Chavez? Fidel Castro répond

Subject: Qui était Chavez? Fidel Castro répond
Pour rappel: le Bronx, c'est au "paradis capitaliste" Us...
RoRo
-----Message d'origine-----
From: Xarlo@aol.com
Sent: Wednesday, March 13, 2013 8:59 AM
Subject: Qui était Chavez? Fidel Castro répond
« Si vous voulez savoir qui était Chavez,  regardez qui pleure sa
disparition, et regardez ceux qui s'en réjouissent, vous  aurez votre réponse ! »
(Fidel Castro)
Tandis qu'à Miami, une poignée  d'émigrés ont fêté dans l'allégresse la
mort de Chavez, dans le Bronx, des  milliers d'habitants de ce quartier
populaire de New York, ont rendu un dernier  hommage à Hugo Chavez.
De l'initiative de Chavez, entre 2007 et 2010, l'État  vénézuélien a donné
1 million de $ par an, via l'entreprise CITGO, filiale de  Pétrole du
Vénézuela (PDVSA) pour soutenir la mise en place de projets sociaux  dans ce
quartier.
L'organisation PetroBronx fut chargé de mettre en œuvre 30  plans qui ont
profité à des écoles, des coopératives alimentaires ou encore à  l'épuration
de la rivière Bronx.
« L'argent qu'a donné Chavez a eu un impact  énorme », pour le porto-ricain
Félix Leo Campos, qui fait partie du comité  PetroBronx. « Il a proposé un
modèle social différent, une solution alternative,  et il a soutenu les
efforts locaux pour résoudre les problèmes chroniques du  quartier ».
De son côté, l'enseignante Lucia Solano, dominicaine, a souligné  que le
président vénézuelien était une personne humaniste, préoccupée par le  bien
des pauvres : « Il n'y a guère de président américain qui ait visité le sud 
du Bronx ces dernières années ».
Elle a rappelé que durant sa visite dans ce  quartier populaire new-yorkais
en 2005 : « Chavez nous a dit que nous devions  lutter et que nous ne
devions pas nous décourager parce que nous étions pauvres.  Il fallait mettre un
petit grain de sable et il l'a mis.
« Le socialisme,  c'est la liberté »
A l'invitation du parlementaire démocrate José Serrano,  Hugo Chavez s'est
rendu dans la banlieue new-yorkaise en septembre 2005 pour  prendre
connaissance de la réalité de ses habitants, après avoir participé à la  60ème
Assemblée générale de l'Organisation des nations unies (ONU).
« Le  socialisme, c'est la liberté, l'amour et le Christ », a assuré le
Président aux  jeunes qui se réunissaient dans les locaux du centre de
Développement  communautaire « The Point » dans le Bronx.
« La lutte des jeunes est très  importante, car c'est la lutte pour la
planète », leur a-t-il dit, au moment où  il exprimait son avis sur l'importance
d'arrêter le processus destructeur  provoqué par le modèle capitalisme dans
le monde.
« Au début, j'ai pensé que  l'on pouvait humaniser le capitalisme, mais le
capitalisme, c'est le diable.  C'est Judas qui a vendu le Christ pour
quelques pièces. Le socialisme c'est le  Christ, qui donne sa vie pour les autres,
qui nous appelle à nous aimer les uns  les autres, voilà ce qu'est le
socialisme », a confié Chavez à cette occasion. 
Du chauffage pour les nécessiteux
Entre 2005 et 2013, près de 2 millions  de nord-américains ont profité du
programme de livraison gratuite de combustible  pour le chauffage qu'a mis en
place le président vénézuélien et qui a permis de  venir en aide aux
familles qui n'ont pas les moyens pour se doter de ce service  pendant l'hiver.
Ce plan, élaboré par l'État vénézuélien, via la CITGO et la  Citizens
Energy Corporation (Entreprise d'énergie pour les citoyens), a pu  compter sur
des ressources de l'ordre de 465 millions de $, et est venu en aide  à des
habitants de 25 états de la nation nord-américaine.  (Usa)
Cela comprend en  outre les membres de plus de 240 communautés indigènes et
plus de 200 refuges  pour sans-abris.
Le journal argentin El Clarin a recueilli le témoignage de  John Fritz,
président de Mount Hope Housing, une organisation à but non-lucratif  qui
garantit des logements à loyer modéré, et qui a compté avec le soutien de ce 
plan de livraison de combustible pour le chauffage. :
« La majorité de nos  locataires sont des immigrés, fondamentalement
latinos, arrivés récemment, et  qui n'ont même pas assez d'argent pour manger.
Mais grâce à Chavez, pendant  l'hiver, ils ont eu le chauffage gratuit. C'est
une aide inestimable ».
De  son côté, le fondateur de la Citizens Energy Corporation, Joseph P.
Kennedy II,  a exprimé sa peine face à la disparition physique du président
vénézuelien. 
Chavez était un dirigrant « qui se préoccupait énormément des pauvres du 
Venezuela et de toutes les nations du monde et de leurs besoins, surtout les 
plus fondamentaux, pendant que certaines personnes, parmi les plus riches
du  monde, ont plus d'argent que ce qu'ils pourraient raisonnablement en
dépenser  dans toute une vie », a affirmé le neveu de l'ex-président J.F.
Kennedy et  ancien parlementaire à la Chambre des représentants des États-Unis. 
Traduction MA
Source : Agencia venenzolana de noticians (AVN) 

LML 12 mars: Les femmes manifestent contre l'offensive antisociale et l'ordre du jour d'austérité 02

From: LML
Sent: Tuesday, March 12, 2013 10:26 PM
Subject: LML 12 mars: Les femmes manifestent contre l'offensive antisociale et l'ordre du jour d'austérité

Numéro 39 - 12 mars 2013
Journée internationale de la femme
Les femmes manifestent contre l'offensive
antisociale et l'ordre du jour d'austérité

8 mars 2013 à Montréal
Contre les coupures à l'aide sociale du gouvernement du Québec
Manifestations le 13 mars


http://www.cpcml.ca/francais/index.html

Pourquoi l'étude de Staline est cruciale aujourd'hui - Why the study of Stalin is crucial today - Porque el estudio de Stalin es crucial hoy 03

Sent: Wednesday, March 13, 2013 3:05 AM
Subject: Pourquoi l'étude de Staline est cruciale aujourd'hui - Why the study of Stalin is crucial today - Porque el estudio de Stalin es crucial hoy
FRANÇAIS - ENGLISH – ESPAÑOL




POURQUOI L'ÉTUDE DE STALINE EST CRUCIALE AUJOURD'HUI - Antonio Artuso, membre de Reconstruction communiste Canada - 12-03-2013 - pueblo@sympatico.ca
WHY THE STUDY OF STALIN IS CRUCIAL TODAY - Antonio Artuso, member of Communist Reconstruction Canada – March 12, 2013 - pueblo@sympatico.ca
PORQUE EL ESTUDIO DE STALIN ES CRUCIAL HOY - Antonio Artuso, miembro de Reconstrucción Comunista Canadá - 12-03-2013 - pueblo@sympatico.ca





FRANÇAIS :



POURQUOI L'ÉTUDE DE STALINE EST CRUCIALE AUJOURD'HUI :

Antonio Artuso, membre de Reconstruction communiste Canada - 12-03-2013 - pueblo@sympatico.ca



Le capitalisme-impérialisme est en train de sombrer dans un bourbier, devenu familier, caractérisé par la crise, le fascisme et la guerre.  Les raisons de cette situation catastrophique ont été constantes depuis la naissance du capitalisme, et les dangers augmentent.  Les raisons sont :

(1) les méthodes du capitalisme-impérialisme : entre autres (a) l'exploitation de la classe ouvrière (une partie de la plus-value est confisquée par la bourgeoisie); (b) l'oppression économique, politique et sociale des peuples par l'État capitaliste, machine de répression et de domination de classe dominante sur la classe dominée, qui maintient la dictature de la bourgeoisie sur le prolétariat; (c) le pillage des ressources naturelles des pays, ressources qui appartiennent aux peuples, par les transnationales; et

(2) les conséquences du capitalisme-impérialisme : entre autres (a) la crise, (b) le fascisme et (c) la guerre.  Ce sont des caractéristiques de l'impérialisme, stade suprême du capitalisme.  L'impérialisme est né vers 1890 de la concentration toujours plus grande des capitaux, des moyens de production, du pouvoir de la bourgeoisie.  Aujourd'hui la concentration a atteint des niveaux astronomiques, qui conduisent graduellement le système capitaliste-impérialiste à une situation de chaos la barbarie pour les peuples de la terre.

La situation actuelle ressemble toujours davantage à celle des années 1930, de crise, de fascisme et de guerres d'invasion et d'occupation et des changements de régime par des armées fascistes.  Le capitalisme-impérialisme allait plonger l'humanité dans l'abominable boucherie impérialiste et la monstrueuse catastrophe qu'a été la Deuxième Guerre mondiale.  Et les États-Unis s'engagent toujours davantage dans la voie catastrophique suivie par Hitler et le Troisième Reich, au service de la bourgeoisie allemande.  Il est important de comprendre un fait : la bourgeoisie préfère le fascisme à la social-démocratie.  Elle doit écraser et réduire en esclavage le prolétariat, localement ou dans d'autres pays, dans le but de maintenir et d'accroître ses profits.  Cette situation continuera tant et aussi longtemps que le capitalisme-impérialisme existera.

Notre groupe, «Reconstruction communiste Canada», affirme qu'il est urgent de reconstruire (1) un et un seul Parti communiste authentique, de type bolchevik, basé fermement sur les principes de Marx et d'Engels, de Lénine et de Staline; et (2) un et un seul Mouvement communiste international, qui réunisse tous les Partis communistes authentiques.

Conditions d'adhésion à notre groupe :

(A) Appuyer trois des principes fondamentaux du communisme, qui sont les suivants : (1) la voie révolutionnaire; (2) la dictature du prolétariat; (3) la confiscation des moyens de production des mains des capitalistes et l'édification de l'économie socialiste;

(B) Dans cette phase initiale de formation et de consolidation de notre groupe, la formation théorique et idéologique de nos membres est le facteur le plus crucial pour la reconstruction du mouvement communiste au Canada.

L'étude de Marx et d'Engels, de Lénine et de Staline est cruciale pour comprendre la situation actuelle dans le monde et pour mobiliser les peuples contre la crise, le fascisme et la guerre, conséquences inévitables du système capitaliste-impérialiste :

Nous devons nous préparer à entreprendre un processus de débats théoriques avec les autres organisations, en nous basant sur les enseignements de Marx et d'Engels, de Lénine et de Staline et sur le principe de la critique-autocritique.  Notre autoformation et notre formation doit faire en sorte que nous et que nos membres nous nous caractérisions par notre dévouement total à la lutte de classe en vue du renversement du système capitaliste-impérialiste, à l'étude des aspects actuels et historiques de la société (économiques, politiques, sociaux, historiques, militaires, philosophiques, etc.) et du marxisme-léninisme, science de la révolution prolétarienne, guide du prolétariat pour l'instauration et la construction du socialisme et, plus tard, du communisme.



Nous invitons nos amies/is et nos camarades qui comprennent l'anglais à lire l'article "Stalin: Story of a Great Servant of Mankind Who Belongs to the Ages" (Staline : histoire d'un grand serviteur de l'humanité, qui appartient à toutes les générations), par Andrew Rothstein (auteur d'une «History of the USSR»).  L'article a été publié vendredi le 6 mars 1953, le lendemain de la mort de Staline, par la Daily Worker Co-operative Society Ltd., 15 Farringdon Road. London, EC1, Angleterre.  Nous comptons traduire celui-ci en français et en espagnol.







Argentine 2002 - Nous avons sauvé les gens plutôt que les banques

Au pays du nouveau pape ....
Le nouveau pape, l'Argentin Jorge Mario Bergoglio, a dénoncé les prêtres progressistes à la dictature militaire Argentine, entre 1976 et 1983. Il est aujourd'hui considéré comme une opposition solide face au couple Kirchner qui "dirige" l'Argentine. Couple qui a refusé le remboursement des trois quarts des 100 milliards de dollars de dette extérieure :
RoRo

Argentine 2002 - Nous avons sauvé les gens plutôt que les banques

lundi 20 février 2012, par anonyme (Date de rédaction antérieure : 20 février 2012).

Argentine

« Nous avons sauvé les gens plutôt que les banques »
http://www.liberation.fr/economie/0…
L'ancien ministre de l'Economie argentin, Roberto Lavagna, a sorti son pays de la crise en 2002, en se passant des services du FMI. Il préconise la même solution pour la Grèce.
Recueilli par Gérard Thomas, à Buenos Aires
20 février 2012

L'ancien ministre de l'Economie argentin, Roberto Lavagna (REUTERS)
L'ancien ministre de l'Economie argentin Roberto Lavagna, 69 ans, est le principal artisan du redressement de l'Argentine engluée dans une terrible crise économique il y a dix ans. Lorsqu'il prend ses fonctions, en avril 2002, le peso vient d'être dévalué de 70%, le pays est en cessation de paiement, la dette privée s'élève à plus de 72 milliards d'euros, l'inflation annuelle flirte avec les 125% par an, le chômage explose, les petits épargnants sont ruinés et les troubles sociaux ont déjà fait plus de 30 morts dans le pays. Cet ancien ambassadeur auprès de l'Union européenne décide immédiatement de se passer de « l'aide » du Fonds monétaire international (FMI) et des marchés financiers. Quelques pistes à suivre pour la Grèce.
Quelles sont les grandes similitudes entre la crise argentine de 2001-2002 et la crise grecque ?
Au plan économique, tout est semblable. L'Argentine avait établi une parité fixe entre le peso et le dollar, la Grèce est ficelée à l'euro, perdant ainsi le contrôle de sa monnaie. Un taux de change fixe associant des pays à forte productivité et d'autres dont la compétitivité est beaucoup plus faible ne peut qu'engendrer une crise. La Grèce est déjà dans sa quatrième année de récession, l'Argentine l'était également. Le déficit fiscal, le déficit des comptes courants, la chute vertigineuse du PIB, l'endettement, l'explosion du chômage… toutes les grandes données macro-économiques sont similaires. En revanche, la situation sociale de la Grèce est bien meilleure que celle de l'Argentine à l'époque. Au plan institutionnel, l'Argentine était par ailleurs un pays isolé alors que la Grèce fait partie de l'ensemble économique le plus puissant du monde.
Comment avez-vous tiré l'Argentine du chaos ?
Dès mon entrée en fonction, en avril 2002, j'ai décidé de changer radicalement notre manière de penser la sortie de crise. Le mois suivant, j'étais à Washington pour rencontrer les dirigeants du Fonds monétaire international et leur expliquer que nos rapports allaient s'en ressentir. Depuis le début du marasme économique, en 1998, nous avions déjà eu deux programmes du Fonds pour un total de 51 milliards d'euros. Les deux ont été des échecs retentissants et certaines voix s'élevaient pour demander une troisième tournée de quelque 17 milliards supplémentaires.
Je n'ai pas voulu suivre cette voie et j'ai expliqué au Fonds que nous ne voulions plus de prêt et que nous sortirions seuls de la crise. La seule chose que j'ai demandé était un roll over partiel de toutes les échéances. Je me suis également engagé à payer les intérêts de la dette et une partie du capital. Mais pas tout et pas tout de suite. Cette position était tout simplement impensable pour le FMI car nous affichions notre volonté de fixer nous même notre propre politique économique. J'ai dû leur expliquer trois fois de suite ma position avant qu'ils finissent par comprendre. A partir de là nous avons arrêté de soutenir financièrement les banques alors que le FMI nous l'imposait, exigeant même que nous privatisions la Banque de la Nation. Mais comme nous étions sorti du jeu, le Fonds n'avait plus de moyen de pression sur l'Argentine !
Vous avez donc oeuvré contre le FMI et vos principaux créanciers ?
Les sorties de crise se font en dehors des chemins tracés par le FMI. Cette institution propose toujours le même type de contrat d'ajustement fiscal qui consiste à diminuer l'argent qu'on donne aux gens — les salaires, les pensions, les aides publiques, mais également les grands travaux publics qui génèrent de l'emploi — pour consacrer l'argent économisé à payer les créanciers. C'est absurde. Après 4 ans de crise on ne peut pas continuer à prélever l'argent aux mêmes. Or c'est exactement ce qu'on veut imposer à la Grèce ! Tout diminuer pour donner aux banques. Le FMI s'est transformé en une institution chargée de protéger les seuls intérêts financiers. Quand on est dans une situation désespérée, comme l'était l'Argentine en 2001, il faut savoir changer la donne.
Selon vous les plans d'austérité et de rigueur ne sont pas nécessaires mais c'est pourtant ce qu'on impose à la Grèce…
A tort car l'argent prêté risque de ne jamais être remboursé et le déficit fiscal grec est plus élevé aujourd'hui qu'avant la première injection d'argent frais. Ce sont les mêmes éternelles erreurs. C'est le secteur financier qui impose sa manière de voir les choses au monde entier. On préfère sauver les banques plutôt que les gens qui ont des crédits immobiliers à rembourser. La première chose qu'on a faite nous, c'est de rallonger les échéances pour les propriétaires endettés. Les fonctionnaires du FMI nous ont alors dit que nous violions les règles essentielles du capitalisme ! Ils oubliaient simplement que des gens ruinés ne consomment plus, ce qui obère une relance par la croissance.
Au lieu de payer les banques, la Grèce devrait investir dans l'éducation, les sciences et la technologie, financer des infrastructures et récupérer ainsi une certaine productivité, ne serait-ce que dans les secteurs des services ou du tourisme.
Vous devez avoir beaucoup d'ennemis chez les banquiers…
Ils me détestent ! Ce qui ne les a pas empêché de frapper à notre porte pour nous prêter de l'argent 48 heures exactement après que nous avons terminé la restructuration de notre dette en 2005 ! Or j'ai refusé ces offres intéressées en leur répondant que nous ne reviendrons pas sur le marché financier avant 2014 car nous n'en avons plus besoin. Pourquoi 2014, simplement parce qu'à cette époque la dette sera seulement de 30% du PIB, la moitié des critères européens de Maastricht ! Je pense qu'un pays comme l'Argentine ne doit pas être tout le temps présent sur le marché financier. C'est un risque beaucoup trop grand d'augmenter à nouveau la dette. Le problème c'est que ce sont les banquiers eux-mêmes qui estiment qu'il est positif pour l'image d'un pays d'emprunter à l'international. Il est clair que si je vendais des tomates, je trouverai très bien qu'on en mange ! Eux ils vendent de l'argent.


[Video] Periodista cubana sufre represión policial... en Madrid. Se apellida Sánchez, pero no tiene la suerte de llamarse Yoani. Los medios ignoran el caso s

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From: jemi.bayart
Sent: Sunday, March 03, 2013 9:00 PM
Subject: Fwd: [Video] Periodista cubana sufre represión policial... en Madrid. Se apellida Sánchez, pero no tiene la suerte de llamarse Yoani. Los medios ignoran el caso
Periodista cubana sufre represión policial... en Madrid: al habla con Heidi Sánchez
Ver videohttp://www.cubainformacion.tv/index.php/en-portada/48527-periodista-cubana-sufre-represion-policial-en-madrid-al-habla-con-heidi-sanchez
Voir la vidéo: ces images tragiques, en particulier ces personnes alignées contre un mur, me rappellent les heures sombres de l'occupation nazie...
Ces policiers, issus de milieux populaires, à l'emploi stable, obéissent aux ordres...


Elle s'appelle aussi Sánchez, mais elle n'a pas la chance de s'appeler Yoani. C'est pourquoi son cas n'intéresse pas la presse espagnole. Heidi Sánchez Médina, journaliste cubaine résidant à Madrid, a souffert de la brutalité de la police espagnole en couvrant pour Monde Ouvrier les protestations sociales récentes. Chambre : Javier Couso.

Article de Heidi Sánchez dans « Monde Ouvrier »:

Agression brutale de la police contre la presse espagnole

Si ceci s'était passé à Cuba cela aurait été différent

Yoani Sánchez, qui invente des détentions et des agressions jamais démontrées, est portail de beaucoup de moyens, tandis qu'aucun média important ne fait mention de journalistes attaqués qui effectuaient leur tâche ce dernier 23 février

Heidi Sánchez 26/02/2013 - Monde Ouvrier. - L'Espagne, un pays développé, membre de l'Union Européenne, donne des leçons de démocratie à des pays qu'elle qualifie du Tiers Monde, un de ses axes préférés étant Cuba, nation que l'on accuse systématiquement de pratiquer la censure médiatique et d'empêcher la liberté d'expression, tandis que des journalistes de médias espagnols sont attaqués par la police quand ils couvrent des manifestations.

Comme dans une guerre il faut porter un costume de conflit, mais non, ici, au milieu de la capitale, Madrid, les journalistes et reporters photographes, pour couvrir toute manifestation doivent être protégés avec des casques et être bien identifiés, ce qui n'empêche pas que la police anti trouble s'attaque systématiquement à la presse en empêchant son travail d'information.

Le monopole médiatique est entre les mains des grands moyens de désinformation, ceux qui dénoncent qu'à Cuba la presse est aux ordres du ¨ régime ¨ et qui profitent de la plus petite occasion pour déformer tout fait qui arrive dans l'Île.  Nous trouvons un exemple clair avec la ¨dissidente¨ cubaine Yoanis Sánchez, dont la seule tâche est de calomnier son pays, arrivant à inventer des détentions et des agressions jamais démontrées avec preuves et y compris affirmer à des occasions réitérées qu'elle souffre de persécutions et qu'elle a fait l'objet d'une surveillance. Il a été démontré qu'elle n'a jamais été une victime de mauvais traitements ni de violence de la part de la police ni de la nation cubaine, bien qu'elle soit soutenue par nombre de médias quand elle dit de semblables barbaries.

Au contraire en Espagne de la supposée liberté de la presse, on ne trouve aucune mention de l'agression gratuite et brutale contre des journalistes. Aucun important moyen n'a fait mention des journalistes attaqués qui effectuaient leur travail ce 23 février passé, tandis qu'une une protestation était très suivie contre la politique de coupures sociales imposée par le gouvernement de Rajoy.
 Clairement, si ceci s'était passé à Cuba la chose serait différente.



-------- Message original --------
Sujet: [Video] Periodista cubana sufre represión policial... en Madrid. Se apellida Sánchez, pero no tiene la suerte de llamarse Yoani. Los medios ignoran el caso
Date : Sun, 3 Mar 2013 09:03:31 +0100
De : Cubainformación.tv mailto:cubainformacion@cubainformacion.tv
Répondre à : cubainformacion@cubainformacion.tv
Pour : Cubainformación mailto:cubainformacion@cubainformacion.tv



Periodista cubana sufre represión policial... en Madrid: al habla con Heidi Sánchez
Ver videohttp://www.cubainformacion.tv/index.php/en-portada/48527-periodista-cubana-sufre-represion-policial-en-madrid-al-habla-con-heidi-sanchez
Se apellida también Sánchez, pero no tiene la suerte de llamarse Yoani. Por eso a la prensa española su caso no le interesa. Heidi Sánchez Medina, periodista cubana residente en Madrid, sufrió la brutalidad de policía española al cubrir para Mundo Obrero las recientes protestas sociales. Cámara: Javier Couso.
Artículo de Heidi Sánchez en "Mundo Obrero"
Brutal agresión de la policía contra la prensa española
Si esto hubiera pasado en Cuba la cosa hubiera sido diferente
Yoani Sánchez, que inventa detenciones y agresiones nunca demostradas, es portada de muchos medios, mientras ningún medio importante hace mención a los periodistas agredidos que realizaban su labor el pasado 23 de febrero

Heidi Sánchez 26/02/2013 - Mundo Obrero.- España, un país desarrollado, miembro de la Unión Europea, va dando lecciones de democracia a países que califica del tercer mundo, siendo uno de sus ejes blancos preferidos de crítica Cuba, nación a la cual se acusa sistemáticamente de practicar la censura mediática e impedir la libertad de expresión, mientras que periodistas de medios españoles son agredidos por la policía cuando cubren manifestaciones.
Como si de una guerra se tratara hay que llevar una indumentaria de conflicto, pero no, aquí, en medio de la capital, Madrid, los periodistas, cámaras y fotoreporteros, para cubrir cualquier manifestación deben protegerse con cascos y estar bien identificados, lo que no impide que la policía antidisturbios arremeta sistemáticamente contra la prensa impidiendo su labor de informar.
El monopolio mediático está en manos de los grandes medios de des-información, estos ¨colegas ¨ que denuncian que en Cuba la prensa esta sujeta a las órdenes del ¨ régimen ¨ y que aprovechan la menor oportunidad para tergiversar cualquier cosa que suceda en la Isla. Un ejemplo claro lo encontramos con la ¨disidente¨ cubana Yoanis Sánchez, cuya única labor es la de calumniar a su país, llegando a inventarse detenciones y agresiones nunca demostradas con pruebas e incluso afirmar en reiteradas ocasiones que sufre de persecuciones y que ha sido objeto de vigilancia, siendo demostrado que nunca ha sido víctima ni de maltratos ni de violencia por parte de la policía de la nación caribeña, a pesar de ser portada de muchas medios cuando ha dicho semejantes barbaridades.
Por el contrario en la España de la supuesta libertad de prensa no se encuentra ninguna mención de la gratuita y brutal agresión a los periodistas. Ningún medio importante hace mención a los periodistas agredidos que realizaban su labor el pasado 23 de febrero, mientras se realizaba una protesta multitudinaria contra la política de recortes sociales impuesta por el gobierno de Rajoy. Claro, si esto hubiera pasado en Cuba la cosa sería diferente.

José Manzaneda
Coordinador de Cubainformación
Tel.: 94-4151107

¿Sabe usted que hay 5 cubanos presos en cárceles de EE.UU. por luchar contra el terrorismo?





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