vendredi 20 août 2004
Les affres du capitalisme aux Usa :
http://users.skynet.be/roger.romain/Sommario.html
Les affres du capitalisme aux Usa : "l' Eldorado américain" comme nous disent les journalistes "libres" et sécurisés du capitalisme ...
RoRo
----- Original Message -----
From: <actus@club-internet.fr>
Sent: Sunday, August 22, 2004 12:14 PM
Subject: Les affres du capitalisme aux usa
http://www.lemonde.fr/web/imprimer_article/0,1-0@2-3222,36-376093,0.html
Etats-Unis : les riches plus riches, les pauvres plus nombreux, selon une étude
LEMONDE.FR 20.08.04 10h13
Un rapport du centre pour la recherche économique et politique, rendu public jeudi 19 août, affirme que 700 000 Américains ont franchi le seuil de pauvreté en 2003. Parallèlement, le revenu moyen augmente, ce qui trahit un élargissement du fossé entre riches et pauvres. Depuis l'arrivée de George Bush au pouvoir en 2000, le taux de pauvreté a augmenté chaque année.La pauvreté a vraisemblablement progressé en 2003 parmi les Américains et le fossé entre riches et pauvres s'est accentué, ont déclaré jeudi 19 août des économistes dont le rapport pourrait donner des munitions aux détracteurs du président George Bush.Si le taux de pauvreté officiel ne doit pas être rendu public avant la semaine prochaine, le centre pour la recherche économique et politique, plutôt marqué à gauche, estime à 700 000 le nombre d'Américains venus grossir les rangs des pauvres l'an dernier, d'après des chiffres qu'il a pu obtenir à l'avance.Cette tendance portera le nombre de pauvres aux Etats-Unis à environ 36,4 millions, contre 35,7 millions en 2002.Le seuil de pauvreté correspond à des revenus annuels inférieurs à 9 573 dollars (7 739 euros environ) pour un individu, ou 18 660 dollars (15 087 euros environ) pour une famille de quatre personnes dont deux enfants, selon le bureau du recensement.12,8 % DES AMÉRICAINS DANS LA PAUVRETÉS'appuyant sur les chiffres du bureau du recensement pour le premier semestre 2003, l'économiste Heather Boushey affirme que le pourcentage d'Américains vivant dans la pauvreté atteint à présent 12,8 %, contre 12,7 % au premier semestre 2002.Ce taux augmente si l'on ne prend en compte que les enfants, selon cette étude, pour atteindre 18,8 % en 2003 contre 18,6 % en 2002.Le taux de pauvreté tend à suivre l'évolution générale de l'économie, en augmentant lors d'une récession et en décroissant quand l'économie se porte bien.Il a augmenté chaque année depuis 2000 - année de l'arrivée au pouvoir de M. Bush - ce qui fait dire au Parti démocrate que la politique économique de George W. Bush profite d'abord aux plus aisés.Mais les stratèges économiques de Bush affirment qu'il a hérité d'une récession semée sous l'ancien président démocrate, Bill Clinton, et que des réductions d'impôts successives ont, depuis, relancé l'économie et la création d'emplois.Les chiffres officiels concernant le taux de pauvreté doivent être rendus publics le 26 août.Heather Boushey pense qu'ils seront légèrement différents de ses propres estimations parce qu'ils prendront en compte des données sur douze mois, et seront fondés sur une autre enquête - similaire - du bureau du recensement.AUGMENTATION DU REVENU MOYEN DES MÉNAGESSon étude montre par ailleurs que le revenu moyen des ménages s'est accru de 3,6 % à 48 216 dollars (38 924 euros environ) pour le premier semestre 2003 par rapport à la même période en 2002. Si l'inflation est prise en compte, ce revenu ne s'est accru que de 1,1 %.Selon Heather Boushey, combinée avec l'accroissement du taux de pauvreté, la hausse du revenu moyen des ménages semble trahir un élargissement du fossé entre riches et pauvres."Les familles situées au-dessus de la moyenne ont connu une augmentation (de leur revenu), mais les familles situées en bas de l'échelle ont connu l'inverse", a-t-elle déclaré aux journalistes.Selon son rapport, le nombre d'Américains bénéficiant d'une couverture médicale a probablement baissé lui aussi, en 2003, pour la troisième année consécutive, en même temps que le chômage s'est accru et que les prestations sociales fournies par les entreprises ont baissé.
Avec Reuters
Les affres du capitalisme aux Usa : "l' Eldorado américain" comme nous disent les journalistes "libres" et sécurisés du capitalisme ...
RoRo
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Subject: Les affres du capitalisme aux usa
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Etats-Unis : les riches plus riches, les pauvres plus nombreux, selon une étude
LEMONDE.FR 20.08.04 10h13
Un rapport du centre pour la recherche économique et politique, rendu public jeudi 19 août, affirme que 700 000 Américains ont franchi le seuil de pauvreté en 2003. Parallèlement, le revenu moyen augmente, ce qui trahit un élargissement du fossé entre riches et pauvres. Depuis l'arrivée de George Bush au pouvoir en 2000, le taux de pauvreté a augmenté chaque année.La pauvreté a vraisemblablement progressé en 2003 parmi les Américains et le fossé entre riches et pauvres s'est accentué, ont déclaré jeudi 19 août des économistes dont le rapport pourrait donner des munitions aux détracteurs du président George Bush.Si le taux de pauvreté officiel ne doit pas être rendu public avant la semaine prochaine, le centre pour la recherche économique et politique, plutôt marqué à gauche, estime à 700 000 le nombre d'Américains venus grossir les rangs des pauvres l'an dernier, d'après des chiffres qu'il a pu obtenir à l'avance.Cette tendance portera le nombre de pauvres aux Etats-Unis à environ 36,4 millions, contre 35,7 millions en 2002.Le seuil de pauvreté correspond à des revenus annuels inférieurs à 9 573 dollars (7 739 euros environ) pour un individu, ou 18 660 dollars (15 087 euros environ) pour une famille de quatre personnes dont deux enfants, selon le bureau du recensement.12,8 % DES AMÉRICAINS DANS LA PAUVRETÉS'appuyant sur les chiffres du bureau du recensement pour le premier semestre 2003, l'économiste Heather Boushey affirme que le pourcentage d'Américains vivant dans la pauvreté atteint à présent 12,8 %, contre 12,7 % au premier semestre 2002.Ce taux augmente si l'on ne prend en compte que les enfants, selon cette étude, pour atteindre 18,8 % en 2003 contre 18,6 % en 2002.Le taux de pauvreté tend à suivre l'évolution générale de l'économie, en augmentant lors d'une récession et en décroissant quand l'économie se porte bien.Il a augmenté chaque année depuis 2000 - année de l'arrivée au pouvoir de M. Bush - ce qui fait dire au Parti démocrate que la politique économique de George W. Bush profite d'abord aux plus aisés.Mais les stratèges économiques de Bush affirment qu'il a hérité d'une récession semée sous l'ancien président démocrate, Bill Clinton, et que des réductions d'impôts successives ont, depuis, relancé l'économie et la création d'emplois.Les chiffres officiels concernant le taux de pauvreté doivent être rendus publics le 26 août.Heather Boushey pense qu'ils seront légèrement différents de ses propres estimations parce qu'ils prendront en compte des données sur douze mois, et seront fondés sur une autre enquête - similaire - du bureau du recensement.AUGMENTATION DU REVENU MOYEN DES MÉNAGESSon étude montre par ailleurs que le revenu moyen des ménages s'est accru de 3,6 % à 48 216 dollars (38 924 euros environ) pour le premier semestre 2003 par rapport à la même période en 2002. Si l'inflation est prise en compte, ce revenu ne s'est accru que de 1,1 %.Selon Heather Boushey, combinée avec l'accroissement du taux de pauvreté, la hausse du revenu moyen des ménages semble trahir un élargissement du fossé entre riches et pauvres."Les familles situées au-dessus de la moyenne ont connu une augmentation (de leur revenu), mais les familles situées en bas de l'échelle ont connu l'inverse", a-t-elle déclaré aux journalistes.Selon son rapport, le nombre d'Américains bénéficiant d'une couverture médicale a probablement baissé lui aussi, en 2003, pour la troisième année consécutive, en même temps que le chômage s'est accru et que les prestations sociales fournies par les entreprises ont baissé.
Avec Reuters
dimanche 8 août 2004
Non à la participation du Canada aux préparatifs de guerre impérialiste des États-Unis! Canada, hors de NORAD!
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Toujours du nouveau sur :
http://romainroger.blogspot.com/
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(et Amérique latine)
http://eurodictature.blogspot.com/
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http://occupationpalestine.blogspot.com/
http://lapresselibre.blogspot.com/
Parti communiste du Canada (marxiste-léniniste)
Enregistré auprès d'Élections Canada sous le nom de Parti marxiste-léniniste du Canada
Non à la participation du Canada aux préparatifs de guerre impérialiste des États-Unis! Canada, hors de NORAD!
Déclaration du Parti communiste du Canada (marxiste-léniniste), 6 août 2004
Le 5 août, le ministre de la Défense Bill Graham et le ministre des Affaires étrangères Pierre Pettigrew ont annoncé que le gouvernement canadien a amendé l'accord sur le Commandement de la défense aérospatiale de l'Amérique du Nord (NORAD) avec les États-Unis. Selon le communiqué de presse, «cet amendement permet au NORAD de rendre sa fonction d'alerte antimissile — une fonction exercée par l'organisation depuis près de trente ans — disponible pour les commandements américains chargés de la défense antimissile balistique».
Le Parti communiste du Canada (marxiste-léniniste) condamne la décision du premier ministre qui a pour conséquence d'engager le Canada directement dans les préparatifs de guerre impérialiste des États-Unis au nom de la sécurité de l'Amérique du Nord, de la «guerre au terrorisme» et de la souveraineté du Canada. Le fait que cette décision ait été annoncée la veille du 59e anniversaire de lancement de la bombe atomique sur Hiroshima et Nagasaki rappelle dans quelle optique cela s'inscrit. Le but de la bombe atomique était de menacer les peuples du monde qui sortaient de la Deuxième Guerre mondiale avec des aspirations à la libération et à l'émancipation. C'était une mise en garde que les États-Unis ne reculeraient devant rien pour établir leur hégémonie en Europe et en Asie et balayer le communisme de la planète.
À l'époque, le gouvernement du Canada était directement impliqué dans la fabrication de la bombe atomique, entre autres par la production de l'uranium enrichi. Plusieurs ministres canadiens savaient à l'avance que la bombe atomique allait être utilisée contre le peuple japonais.
De même aujourd'hui, la stratégie des attaques préventives et d'occupation que suivent les impérialistes américains, dont fait partie cette «défense antimissile», sert à menacer les peuples du monde et les pays indépendants qui ne se soumettent pas à leurs plans et qui veulent décider de leur destin libres de l'ingérence étrangère et de l'agression. Cela vise à forcer les «alliés» des États-Unis à se soumettre au diktat américain et à laisser savoir aux autres puissances qui voudraient contester ce diktat ce qui les attendent.
En contribuant à légitimer les préparatifs de guerre impérialiste des États-Unis, le Canada s'engage sur une voie dangereuse. Il est inacceptable de prétendre que cette décision est simplement une continuation du programme de NORAD dans les conditions nouvelles. Le PCC(M-L) condamne les négociations du premier ministre Paul Martin dans le dos des Canadiens pour élargir NORAD afin d'y inclure la détection et le contrôle aériens, terrestres et maritimes complets du Canada, plaçant directement la défense du Canada sous le contrôle du commandement nordique américain.
Les cercles dominants des États-Unis sont engagés sur la voie de la militarisation, des attaques préventives, de la guerre d'agression, de l'occupation et du fascisme sur le plan national. Les Canadiens ont maintes fois montré qu'ils sont du côté des peuples du monde comme une seule humanité dont la lutte pour la sécurité et la prospérité de tous est la condition nécessaire à la sécurité et la prospérité de chacun.
Le PCC(M-L) appelle la classe ouvrière et le peuple du Canada à s'appuyer sur eux-mêmes pour établir un gouvernement anti-guerre qui représente leurs aspirations et objectifs. Le Canada doit défendre son espace aérien et s'assurer qu'aucune puissance ne se serve de son espace et de son territoire pour se livrer à des opérations militaires, car cela représente une menace à notre sécurité nationale.
Le Canada doit se retirer immédiatement de NORAD et ne pas permettre que son espace serve aux activités bellicistes des États-Unis.
Une seule humanité, une seule lutte! Annexion non! Souveraineté oui!> > http://www.cpcml.ca/francais/index.html> >
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Parti communiste du Canada (marxiste-léniniste)
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Déclaration du Parti communiste du Canada (marxiste-léniniste), 6 août 2004
Le 5 août, le ministre de la Défense Bill Graham et le ministre des Affaires étrangères Pierre Pettigrew ont annoncé que le gouvernement canadien a amendé l'accord sur le Commandement de la défense aérospatiale de l'Amérique du Nord (NORAD) avec les États-Unis. Selon le communiqué de presse, «cet amendement permet au NORAD de rendre sa fonction d'alerte antimissile — une fonction exercée par l'organisation depuis près de trente ans — disponible pour les commandements américains chargés de la défense antimissile balistique».
Le Parti communiste du Canada (marxiste-léniniste) condamne la décision du premier ministre qui a pour conséquence d'engager le Canada directement dans les préparatifs de guerre impérialiste des États-Unis au nom de la sécurité de l'Amérique du Nord, de la «guerre au terrorisme» et de la souveraineté du Canada. Le fait que cette décision ait été annoncée la veille du 59e anniversaire de lancement de la bombe atomique sur Hiroshima et Nagasaki rappelle dans quelle optique cela s'inscrit. Le but de la bombe atomique était de menacer les peuples du monde qui sortaient de la Deuxième Guerre mondiale avec des aspirations à la libération et à l'émancipation. C'était une mise en garde que les États-Unis ne reculeraient devant rien pour établir leur hégémonie en Europe et en Asie et balayer le communisme de la planète.
À l'époque, le gouvernement du Canada était directement impliqué dans la fabrication de la bombe atomique, entre autres par la production de l'uranium enrichi. Plusieurs ministres canadiens savaient à l'avance que la bombe atomique allait être utilisée contre le peuple japonais.
De même aujourd'hui, la stratégie des attaques préventives et d'occupation que suivent les impérialistes américains, dont fait partie cette «défense antimissile», sert à menacer les peuples du monde et les pays indépendants qui ne se soumettent pas à leurs plans et qui veulent décider de leur destin libres de l'ingérence étrangère et de l'agression. Cela vise à forcer les «alliés» des États-Unis à se soumettre au diktat américain et à laisser savoir aux autres puissances qui voudraient contester ce diktat ce qui les attendent.
En contribuant à légitimer les préparatifs de guerre impérialiste des États-Unis, le Canada s'engage sur une voie dangereuse. Il est inacceptable de prétendre que cette décision est simplement une continuation du programme de NORAD dans les conditions nouvelles. Le PCC(M-L) condamne les négociations du premier ministre Paul Martin dans le dos des Canadiens pour élargir NORAD afin d'y inclure la détection et le contrôle aériens, terrestres et maritimes complets du Canada, plaçant directement la défense du Canada sous le contrôle du commandement nordique américain.
Les cercles dominants des États-Unis sont engagés sur la voie de la militarisation, des attaques préventives, de la guerre d'agression, de l'occupation et du fascisme sur le plan national. Les Canadiens ont maintes fois montré qu'ils sont du côté des peuples du monde comme une seule humanité dont la lutte pour la sécurité et la prospérité de tous est la condition nécessaire à la sécurité et la prospérité de chacun.
Le PCC(M-L) appelle la classe ouvrière et le peuple du Canada à s'appuyer sur eux-mêmes pour établir un gouvernement anti-guerre qui représente leurs aspirations et objectifs. Le Canada doit défendre son espace aérien et s'assurer qu'aucune puissance ne se serve de son espace et de son territoire pour se livrer à des opérations militaires, car cela représente une menace à notre sécurité nationale.
Le Canada doit se retirer immédiatement de NORAD et ne pas permettre que son espace serve aux activités bellicistes des États-Unis.
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jeudi 5 août 2004
Bush manipule les alertes terroristes à des fins politiques
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Les brèves 04-08
par M.Lemaire
Bush manipule les alertes terroristes à des fins politiques
Bush en campagne à Davenport © Tim Sloan
Bush est sur la défensive car certains le soupçonnent de manipuler les alertes terroristes à des fins politiques à l'approche de l'élection présidentielle du 2 novembre.L'ex-candidat à l'investiture démocrate pour la présidentielle, Howard Dean a déclaré que "chaque fois que Bush a un problème, il abat son atout: le terrorisme". Pourquoi le gouvernement américain a-t-il choisi dimanche de monter le niveau d'alerte à Washington et New York alors que les données qu'il possédait dataient d'avant le 11 septembre 2001, a demandé M. Dean.En effet, le gouvernement américain a fait état dimanche 1er août de possibles attentats "d'Al-Qaïda" contre des institutions financières et internationales "emblématiques" à New York, à Newark (New Jersey, nord-est) et à Washington, et relevé à l'orange (très élevé) le niveau d'alerte pour ces institutions. Le ministre chargé de la Sécurité intérieure, Tom Ridge, a admis que les informations qui l'ont conduit a rehausser le niveau d'alerte dataient d'au moins trois ans mais ... certaines de ces informations avaient été réactualisées par Al-Qaïda en janvier dernier.
Cette organisation planifie ses attaques à l'avance, s'est-il justifié. "Nous ne faisons pas de politique", au Département de la Sécurité intérieure, ...
Tom Ridge : secrétaire américain à la Sécurité intérieure
Dimanche, Ridge avait pourtant fait état d'informations "détaillées" et d'une "précision rare".L'équipe du président Bush a choisi de passer à la contre-offensive Des responsables des services de renseignement ont affirmé, sous couvert d'anonymat, dans plusieurs journaux américains dont le New York Times que les menaces étaient réelles.
Un de ces (ir)responsables a dit que, selon leurs informations, des attaques pourraient avoir lieu "en août ou septembre". Un autre responsable a indiqué que les informations communiquées par M. Ridge ne provenaient pas "d'une seule source" et que certaines avaient été mises actualisées "vendredi soir". Selon les sondages, Distancé par Kerry sur les questions économiques, Bush est perçu par les Américains comme plus efficace pour combattre le terrorisme.Conclusion, Bush est bien décidé à jouer cette carte à fond.Un hebdomadaire américain, The New Republic, citant des responsables pakistanais, a indiqué que l'administration Bush avait fait pression sur le Pakistan pour que l'arrestation d'un terroriste important ait lieu pendant la campagne et, si possible, pendant la convention démocrate qui s'est tenue du 26 au 29 juillet à Boston.Or, juste quelques heures avant le discours de Kerry devant les délégués démocrates, le Pakistan a annoncé avoir capturé l'un des terroristes d'Al-Qaïda les plus recherchés, le Tanzanien Ahmed Khalfan Ghailani, soupçonné d'être impliqué dans les attentats de 1998 contre les ambassades américaines en Tanzanie et au Kenya...cqfd
Pour consulter votre groupe en ligne, accédez à :http://fr.groups.yahoo.com/group/romain/
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Les brèves 04-08
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Bush manipule les alertes terroristes à des fins politiques
Bush en campagne à Davenport © Tim Sloan
Bush est sur la défensive car certains le soupçonnent de manipuler les alertes terroristes à des fins politiques à l'approche de l'élection présidentielle du 2 novembre.L'ex-candidat à l'investiture démocrate pour la présidentielle, Howard Dean a déclaré que "chaque fois que Bush a un problème, il abat son atout: le terrorisme". Pourquoi le gouvernement américain a-t-il choisi dimanche de monter le niveau d'alerte à Washington et New York alors que les données qu'il possédait dataient d'avant le 11 septembre 2001, a demandé M. Dean.En effet, le gouvernement américain a fait état dimanche 1er août de possibles attentats "d'Al-Qaïda" contre des institutions financières et internationales "emblématiques" à New York, à Newark (New Jersey, nord-est) et à Washington, et relevé à l'orange (très élevé) le niveau d'alerte pour ces institutions. Le ministre chargé de la Sécurité intérieure, Tom Ridge, a admis que les informations qui l'ont conduit a rehausser le niveau d'alerte dataient d'au moins trois ans mais ... certaines de ces informations avaient été réactualisées par Al-Qaïda en janvier dernier.
Cette organisation planifie ses attaques à l'avance, s'est-il justifié. "Nous ne faisons pas de politique", au Département de la Sécurité intérieure, ...
Tom Ridge : secrétaire américain à la Sécurité intérieure
Dimanche, Ridge avait pourtant fait état d'informations "détaillées" et d'une "précision rare".L'équipe du président Bush a choisi de passer à la contre-offensive Des responsables des services de renseignement ont affirmé, sous couvert d'anonymat, dans plusieurs journaux américains dont le New York Times que les menaces étaient réelles.
Un de ces (ir)responsables a dit que, selon leurs informations, des attaques pourraient avoir lieu "en août ou septembre". Un autre responsable a indiqué que les informations communiquées par M. Ridge ne provenaient pas "d'une seule source" et que certaines avaient été mises actualisées "vendredi soir". Selon les sondages, Distancé par Kerry sur les questions économiques, Bush est perçu par les Américains comme plus efficace pour combattre le terrorisme.Conclusion, Bush est bien décidé à jouer cette carte à fond.Un hebdomadaire américain, The New Republic, citant des responsables pakistanais, a indiqué que l'administration Bush avait fait pression sur le Pakistan pour que l'arrestation d'un terroriste important ait lieu pendant la campagne et, si possible, pendant la convention démocrate qui s'est tenue du 26 au 29 juillet à Boston.Or, juste quelques heures avant le discours de Kerry devant les délégués démocrates, le Pakistan a annoncé avoir capturé l'un des terroristes d'Al-Qaïda les plus recherchés, le Tanzanien Ahmed Khalfan Ghailani, soupçonné d'être impliqué dans les attentats de 1998 contre les ambassades américaines en Tanzanie et au Kenya...cqfd
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