dimanche 28 novembre 2010

G18 COREES: nouveau danger de guerre ...

 
Ce dimanche 28 novembre 2010, les Ricains ont donc commencé leurs manoeuvres de guerre en COREE du Sud, ce pays devenu satellite, qu'ils occupent depuis 65 ans, qu'ils ont bourré de troupes et d' armes nucléaires. A des milliers de kms de leurs frontières, comme d'habitude.
 
La bombe atomique, ils ont d'ailleurs déjà voulu l'utiliser lors de la Guerre de Corée. Seule la peur de l'opinion internationale les en ont empêchés. Ils ont commis de nombreux crimes de guerre contre les populations civiles, utilisant notamment la guerre bactériologique, la guerre microbienne, des moyens plus discrets...
 
Bush ( s ), Clinton, Obama ???  Cherchez la différence ! Pour les impérialistes et fauteurs de guerre ricains, la "menace" vient toujours des autres ...
 
RoRo
 

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jeudi 18 novembre 2010

Mais enfin, pourquoi ils nous haïssent comme ça, ces bougnoules ?

 

From: Le Brasier
Sent: Thursday, November 18, 2010 7:24 AM
To:
Subject: Mais enfin, pourquoi ils nous haïssent comme ça, ces bougnoules ?


Luc Delval


Article en PDF : Enregistrer au format PDF

Qu'est-ce qu'on leur a fait, à part les bombarder pour leur bien ? On ne se départit pas facilement d'une vision colonialiste du monde. Témoin un échange, mercredi, entre le journaliste de France 5 qui anime l'émission de talk-show politique « C dans l'air » et un de ses invités, Pierre Servent (un expert en quelque chose).

Mais enfin, pourquoi ils nous haïssent comme ça, ces bougnoules ?

Le débat - comment se fesse ? - tournait autour de la menace terroriste, réelle et supposée.

Question du journaliste (les citations sont d'après des notes prises au vol, si vous voulez entendre au mot près, allez sur le site web de l'émission) : "La menace d'attentats pourrait-elle être liée aux ravages créés en Afghanistan par les drones, avions sans pilote qui ne servent plus seulement à l'observation, mais tirent des missiles et font des morts tous les jours ?"

Un petit reportage explique alors ce qu'est la vie des militaires américains qui utilisent ces drones : ils habitent la Floride ou le Nevada, quittent la maison familiale le matin après un bon petit déj', vont au bureau où, confortablement assis devant des écrans dans une salle climatisée, ils manipulent un joystick. Et à des milliers de kilomètres de là un drone survole des villages afghans. Si l'opérateur repère quelque chose de suspect, il pousse sur un bouton - en Floride ou au Nevada - et des gens prennent un missile sur la gueule trois secondes plus tard en Afghanistan (ou ailleurs, peu importe pourvu que ce soit dans un pays musulman). A midi, ils rentrent chez eux manger un hamburger et faire un bisou à Madame, puis retournent au bureau faire la guerre, avant de regagner leur petite maison pour regarder la télé (Chuck Norris, c'est reposant après une journée de dur labeur au service de la civilisation). Le soir, dodo réparateur : la journée de demain sera dure, y'a pas mal de muslims à exterminer encore.

Et les experts de préciser, l'air manifestement satisfaits, qu'à aucun moment avant que le ciel leur tombe sur la tête, les cibles n'ont eu le sentiment d'être surveillées : elles n'ont rien vu, rien entendu... Il ne vous étonnera pas d'apprendre au passage qu'Israël est devenu un des principaux producteurs de ce genre de joujous, dont la taille varie de celle d'une libellule à celle d'un Boeing 737 et l'autonomie peut atteindre des dizaines d'heures de vol.

Donc, disais-je, question du journaliste : ces drones font des morts tous les jours depuis de nombreux mois en Afghanistan (140 morts au cours du mois écoulé seulement, sans qu'on puisse savoir combien de civils, de femmes et d'enfants parmi eux), n'y aurait-il pas un lien avec une hypothétique menace terroriste chez nous ? (il est bien élevé, le journaliste, et il tient à sa place, donc il ne suggère pas que l'usage de ces drones EST du terrorisme).

Réponse de l'invité Pierre Servent (photo à droite, évidemment !) : "cela paraît peu vraisemblable ! il y a de nombreux mois que les drones sont utilisés de cette manière et tuent tous les jours, et cela n'a jamais engendré de menace terroriste. Donc il n'y a aucune raison de penser que ce soit le cas maintenant".

C'est pas une logique implacable, ça ? Pourquoi voulez-vous que des gens que de courageux militaires occidentaux se fatiguent à flinguer à coups de joysticks depuis des mois finissent, comme ça, soudain, sans justification, par mal le prendre ? Ils ont eu le temps de s'habituer, non ? (si non, c'est vraiment la preuve de leur infériorité et de leur inaptitude au monde moderne).

Vraiment, s'ils finissaient par se fâcher - sait-on jamais ? c'est gens-là ne sont pas des cartésiens démocrates comme nous - ce ne serait que la preuve de leur perversité intrinsèque, et on ne pourrait en tirer d'autre conclusion que la nécessité de multiplier la flotte de drones par dix. Au moins. Avec des plus gros missiles, si possible.

Dans ses voeux de bonne année, voici dix mois, la Libre Belgique souhaitait "que la nature dramatiquement perverse de certains peuples, de leurs dirigeants et de leurs référents religieux ne répande pas - ou moins ! - de guerres, d'épurations et de violences de toute nature". Comme c'était bien vu.

Source : Les doigts dans la crise

Michel Collon.info


Djamal Benmerad
Journaliste, écrivain
Bruxelles
Portable: 00 32 (0) 471 30 11 01
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dimanche 14 novembre 2010

G8 Prévisions apocalyptiques sur l'avenir des USA

 

From: nicolas
Sent: Saturday, November 13, 2010 10:03 PM
To: Romain
Subject: [romain : paix_socialisme_communisme] Fwd: Prévisions apocalyptiques sur l'avenir des USA


 
Prévisions économiques apocalyptiques sur l'avenir des USA!

Nombre de lecteurs : 1042

11/11/2010  
Nul doute, l'effondrement économique et social des Etats-Unis est non seulement inéluctable, mais la menace de sa dissolution est bien réelle !
C'est du moins ce qu'affirme Stephen Lendman,  journaliste réputé et  chercheur au Centre de la recherche mondiale dans son dernier article publié sur le site internet Global Reasearch, et dans lequel il a analysé les études de plusieurs économistes du monde entier prévoyant  l'effondrement économique et social des Etats-Unis dans un avenir proche !
Lendman rapporte d'abord les dires de l'économiste Michael Hudson qui avait affirmé en 2009 : « L'économie américaine a atteint le niveau maximum  de sa dette et elle est aujourd'hui en faillite. Nous ne sommes pas dans un cycle particulier, mais nous sommes à la fin d'un cycle économique ».
Puis Lendman cite   un article qui a été publié dans le quotidien américain  "The Wall Street Journal" en Septembre 2008, et dans lequel il est question d' un ancien analyste du service des renseignements russes KGB et professeur à l'université de Russie , un certain Panamin qui avait prévu la chute des États-Unis en 2010, suivi d'un effondrement social et moral  menaçant la sécurité interne des  Etats-Unis.
L'article en question mentionne  que depuis des années personne n'a pris au sérieux  le professeur russe , alors qu'il est invité au Kremlin quotidiennement pour y organiser des séminaires  et des réunions, sans compter qu'il est considéré par les  médias russes comme  un expert dans  les relations américano-russes et vu qu'il parle de ses prévisions  dans son nouveau livre "La chute de l'Amérique."
Or, dans l'un de ses articles publiés dans le journal « Russie Todd » le 25 Mars 2009, Panamin s'interroge : «Est-ce qu'Obama  pourra empêcher l'effondrement de l'Amérique? Et de répondre: Non;  invoquant les raisons suivantes dont :
- le facteur moral et psychologique et le stress du peuple américain;
- La crise économique et financière qui s'aggrave en Amérique;
- La montée de l'anti-américanisme dans le monde, suite à la politique de négligence et laxiste des USA.

Toujours selon Panamin,  l'effondrement des Etats-Unis  sera concentré dans six régions susceptibles de se transformer en six pays:
1 – les Etats du Nord, qui se rapprochent du Canada avec leurs  programmes économiques.
2 - la région pétrolifère, ou les Etats du sud-ouest situés près du Mexique, y compris les complexes de carburant et d'énergie.
3 - la Californie et le Pacifique Nord-Ouest (la région entre les États-Unis du nord-ouest et sud-ouest du Canada), qui tomberont sous l'influence de la Chine.
4 - Les régions centrales de l'océan Atlantique et au nord-est, qui seront sous l'influence de l'Union européenne.
5 – la zone de l'Alaska susceptible de se retourner vers la Russie.
6 – les îles Hawaï, susceptibles de tomber sous la tutelle du Japon ou de  la Chine.
Panamin assure que l'an  2010 marquera la fin de l'empire américain et qu'aucun  miracle ne pourra le sauver.
A ce titre, Panamin cite les prévisions  du politologue français, Emanuel Todd qui a prédit en 1976 la dissolution de l'Union soviétique et qui a été tourné en dérision à cause de cela, sauf que le temps  a prouvé  la véracité de ses allégations.
Or, Todd a publié  en 2002 un livre intitulé « La fin d'un empire »  dans lequel il   prédit le même sort pour les Etats-Unis, estimant que  son effondrement est inévitable, à cause divers facteurs dont :
- L'égocentrisme de la force militaire est signe de sa faiblesse et non de sa puissance;
- Le terrorisme mondial est devenu un mythe;
- de nombreux pays s'opposent désormais aux aventures américaines, comme la Chine et la Russie, ainsi que l'Union européenne.
- La faiblesse et la stagnation économique;
- la Faible production et une consommation élevée et de la dépendance sur les importations.
- Le monde a réalisé qu'il pouvait se passer des Etats-Unis au moment même où ces derniers commencent à réaliser qu'ils ne peuvent pas se passer du monde
- l'union Euro-Asie qui se construit, et qui va voler aux Etats-Unis son  monopole de  superpuissance,

- la fuite en avant des Etats-Unis qui cherchent à afficher leur force militaire  dans le monde, mais cela a dévoilé  la faiblesse et l'incapacité des Etats-Unis à gérer les conflits dans le monde à leur profit
Bref,  les  États-Unis d'aujourd'hui sont, pour Panamin, comme le Titanic qui a coulé suite à une collision avec un iceberg et son équipage : les administrations Bush et  Obama tentent de le sauver !
Enfin, Stephen Lendman rapporte dans son article sur le dernier rapport   du  «Congressional Budget Office», qui est l'un des piliers de l'aile conservatrice au sein du congrès et qui a prévu plus de faiblesse dans  l'économie américaine, et dont  voici quelques points :
- En 2010, 12 millions de personnes auront une faible production.
- la faiblesse de l'économie durant les  cinq prochaines années provoquera  des pressions sur les travailleurs et conduira à un manque de production
- la réduction de la consommation se poursuivra jusqu'en 2014.
- Le déficit du budget fédéral dans les dix prochaines années sera le double soit  20 milliards de dollars.
 
Et pour conclure, l'auteur de l'article écrit sur une note pessimiste : « si les études et les opinions de Panamin, de Todd et d'autres experts sont corrects, alors le monde doit s'attendre à une catastrophe sans précédent et longue, et qui bouleversera  les conditions de vie de la plupart de la population mondiale ».

 

Al Manar

 

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mercredi 10 novembre 2010

g11 Las Vegas - Más de 1 000 personas sin casa viven debajo de la tierra vivent soyus terre

USA:  le "rêve américain" ou ... les réalités de ce paradis que les médias du capitalisme nous cachent ;
 
C' est à LAS VEGAS, la cité des casinos, des jeux, pour les richards et milliardaires.
 
Malheureusement, les textes sont en espagnol et en anglais.
 
Mais voici le titre: "Le peuple des tunnels de Las Vegas - Comment vivent mille personnes dans les labyrinthes inondés sous la ville de Las Vegas

La Vegas, plus de 1.000 personnes sans maison vivent sous terre... "
 
Les images parlent par elles-mêmes.
 
RoRo
 
 

From: ARTUSO ANTONIO
Sent: Wednesday, November 10, 2010 4:17 PM
To: Raymond Chabert ; romaincourcelles@hotmail.com ; malenko, irina
Subject: Las Vegas - Más de 1 000 personas sin casa viven debajo de la tierra



Le peuple des tunels de Las Vegas - Comment vivent mille personnes dans les labyrintes innondés sous la ville de Las Vegas
The tunnel people of Las Vegas: How 1,000 live in flooded labyrinth under Sin City's shimmering strip

¿Cómo los defensores del sistema capitalista explican en el país más rico del mundo haya más de 1 000 personas que viven bajo tierra en la prospera ciudad de Las Vegas?
Explican el atrazo de los pueblos latino americanos, las "favelas" de Brasil, las callampas de Chile por explicaciones entre otras racistas: "Nosotros, estados unidenses, somos una raza superior, inteligente, cultivada, con una etica protestante y no con una religión feudal, el catolicismo.
Sin explicación cientifica, las explicaciones son racistas, dogmaticas o religiosas.
¿Y cómo los defensores del sistema capitalisa y de la democracia de Washington explican que milliones de ciudadanos estadounidenses no tienen un sistema de salud democratico, un sistema de educación democratico, una cultura democratica?  Porque el regimen capitalista no es capaz de dar una vida decente a miliones de estadounidense?  Pereza?
Solo los marxistas pueden explican como funciona la economia, la politica, el Estado.  El sistema capitalista es una sociedad de clase.  La clase dominante vive del robo de  una parte de la plus-valia (las ganancias capitalistas) producida por la clase obrera.  Los capitalistas viven gracias al Estado que maniene a los trabajadores, a los pueblos, a las naciones (indigenas, colonias, etc.) en la opresion (leyes, represión, ejercitos, policia, dictaduras) economica, politica y social.  Los pueblos son mantenidos bajo la dictadura de los capitalistas y los paises dirigidos por gobiernos entreguistas son saqueados por las transnacionales.  Lease el texto en inglés abajo del Daily Mail Reporter.
Antonio Artuso - Reconstrucción Comunista Canadá - pueblo@sympatico.ca - Montreal, 10 de nov. de 2010  
 Austin Hargrave Las Vegas tunnels

From: rubis.h@videotron.ca
To: pueblo@sympatico.ca
Subject: Fw: [] Below Las Vegs
Date: Wed, 10 Nov 2010 09:31:27 -0500



Amazing!!!! horrible and unacceptable!
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Sent: Wednesday, November 10, 2010 1:48 AM
Subject: FW: [] Below Las Vegs

 Is that the richest country of the world?!?!?  Triste     
En pleurs   Triste  look like a TV science-fiction serial!!  Extra-terrestre
Myriam MONZAVI





The tunnel people of Las Vegas: How 1,000 live in flooded labyrinth under Sin City's shimmering strip

By Daily Mail Reporter
Last updated at 6:59 PM on 3rd November 2010


Deep beneath Vegas’s glittering lights lies a sinister labyrinth inhabited by poisonous spiders and a man nicknamed The Troll who wields an iron bar.

But astonishingly, the 200 miles of flood tunnels are also home to 1,000 people who eke out a living in the strip’s dark underbelly.

Some, like Steven and his girlfriend Kathryn, have furnished their home with considerable care - their 400sq ft 'bungalow' boasts a double bed, a wardrobe and even a bookshelf.

Austin Hargrave Las Vegas tunnels Deeper underground: Steven and Kathryn live in a 400sq ft 'bungalow' under Las Vegas which they have lovingly furnished with other people's castoffs
Austin Hargave

Austin Hargave
One man's junk... Tunnel residents have created wardrobes for their clothes and salvaged furniture to make the subterranean world more homely. However, there is little they can do about the water on the floor

Steven and Kathryn House proud: Steven and Kathryn have also compiled their own library - and constructed shelves to house it


They have been there for five years, fashioning a shower out of a water cooler, hanging paintings the walls and collating a library from abandoned books.

Their possessions however, are carefully placed in plastic crates to stop them getting soaked by the noxious water pooling on the floor.

'Our bed came from a skip outside an apartment complex,' Steven explains. 'It's mainly stuff people dump that we pick up. One man's junk is another man's gold.

‘We get the stuff late at night so people don't see us because it's kind of embarrassing.’
Austin Hargrave flood tunnels Flood tunnels: Amy lives in the labyrinth with her husband Junior. The couple lost their home after the death of their baby son


Steven was forced into the tunnels three years ago after his heroin addiction led to him losing his job.

He says he is now clean and the pair survive by ‘credit hustling’ in the casinos, donning second-hand clothes to check the slot machines for chips accidently left behind.

Astonishingly, Steven claims he once found $997 (£609) on one machine.

Further into the maze are Amy and Junior who married in the Shalimar Chapel â€" one of Vegas’s most popular venues - before returning to the tunnels for their honeymoon.

They lost their home when they became addicted to drugs after the death of their son Brady at four months old.

‘I heard Las Vegas was a good place for jobs,’ Amy said. ‘But it was tough and we started living under the staircase outside the MGM casino.

Austin Hargrave flood tunnels Home comforts: The tunnel people decorate of the homes and even lay scraps of carpet on the concrete floor to make it more comfortable
Las Vegas and tunnels Graffiti artists have turned this area of the tunnel network into a gallery: The channels stretch for more than 200 miles under the ground


‘Then we met a guy who lived in the tunnels. We’ve been down here ever since.’

Matthew O’Brien, a reporter who stumbled across the tunnel people when he was researching a murder case, has set up The Shine A Light foundation to help.

‘These are normal people of all ages who’ve lost their way, generally after a traumatic event,’ he said.

‘Many are war veterans suffering from post-traumatic stress.
‘It’s not known how many children are living there, as they’re kept out of sight, but I’ve seen evidence of them â€" toys and teddy bears.’

O’Brien has published a book on the tunnel people called Beneath The Neon.
These evocative images which show the community's astonishing way of life were taken by Austrin Hargrave, a British photographer now based in the U.S.
The show how the destitute and hopeless have constructed a community beneath the city and have even dedicated one section of tunnels to an art gallery filled with intricate graffiti.

Las Vegas Back above ground: The blazing lights of the strip give no indication of the city's dark underbelly


 



 

                  
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jeudi 4 novembre 2010

g11 LML 3 nov: Deuxième Forum sur la sécurité internationale à Halifax: Canada hors de l'OTAN! Démantelez l'OTAN!

 

From: Le Marxiste-Léniniste
Sent: Wednesday, November 03, 2010 10:59 PM
To: lml@cpcml.ca
Subject: LML 3 nov: Deuxième Forum sur la sécurité internationale à Halifax: Canada hors de l'OTAN! Démantelez l'OTAN!

Le Marxiste-Léniniste

Numéro 171 - 3 novembre 2010

Deuxième Forum sur la sécurité internationale à Halifax

Canada hors de l'OTAN! Démantelez l'OTAN!

Deuxième Forum sur la sécurité internationale à Halifax
• Canada hors de l'OTAN! Démantelez l'OTAN!
• Le Conseil de l'Atlantique: L'appropriation du XXIe siècle par l'OTAN - Rick Rozoff, Stop NATO

===

http://www.cpcml.ca/francais/index.html

ABONNEMENT: Vous ou quelqu'un d'autre avez demandé que votre adresse soit ajoutée à la liste d'envoie du LMLQ. Si vous désirez que votre adresse soit retirée, de la liste, écrivez à postmaster@cpcml.ca
 

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mercredi 3 novembre 2010

g21 Obama : la désillusion et ... la raclée !

Dans le cadre du capitalisme ricain, il fallait être vraiment naïf pour croire en un changement aux Usa, Obama ou pas. Démocrates et/ou républicains, à peu de choses près, c' est kif-kif.
Les présidents Us ne sont que des jouets conscients du complexe militaro-industrielles. Leur but reste la conquête et la domination du monde, y compris par la guerre et le pillage colonialiste lorsqu'ils la jugent nécessaire.
Il est vrai que pour le petit peuple étatsuniens, devoir choisir entre la peste et le choléra devient de plus en plus difficile. Une campagne électorale se joue uniquement entre candidats milliardaires. Cette "démocratie" est avant tout celle du vedettariat et du fric qui écrasent à l' avance tous les choix crédibles et un quelconque changement.
Les promesses électorales sont faites avant tout à destination de la masse des petites gens. Les tenir au lendemain des scrutins, aux Usa ou ailleurs, c' est autre chose. Jouer la carte de la soi-disant "démocratie" capitaliste est d' ailleurs le meilleur moyen de ne rien changer. Le mode de scrutin aux Usa est d'ailleurs bien réglé pour cela.
RoRo
 
 

From: Paquet Daniel
Sent: Wednesday, November 03, 2010 6:12 PM
To:
Subject: Tr. : 

 

Pour DiversesCités

Obama : la désillusion

Les Amériques viennent de connaître deux événements : au Sud, l'élection de Dilma Rousseff à la présidence du Brésil avec 56% des voix qui succédera à Luiz Ignacio Lula da Silva au mois de janvier prochain, et au Nord, le revers électoral subi par Barack Obama lors du scrutin dit de mi-mandat. Au Brésil, le weekend dernier, une majorité d'électeurs ont exprimé leur joie même si certains craignent une possible « dérive » au nom de la crise tandis que mercredi aux Etats-Unis, les pires forces réactionnaires  et racistes hurlaient leur satisfaction de la « raclée » qu'ils venaient de donner à Barack Obama et au parti démocrate qui perd la majorité à la Chambre des représentants et se maintient tout juste au Sénat. Les trois prochaines années risquent d'être mouvementées pour l'actuel locataire de la Maison blanche.

Nous avons dans ces colonnes  - et cela nous a été parfois reproché - salué avec enthousiasme la personnalité et les promesses de Barak Obama, applaudi aux changements annoncés avec son arrivée au pouvoir après les calamiteuses  années Bush (père et fils), espéré voir naître enfin des Etats-Unis mains tendus au plus défavorisés, tolérant avec le monde, jouant un rôle émancipateur.

Pourquoi, deux ans et demi après, une telle déconfiture électorale ? La raison tient en quatre facteurs : les électeurs noirs, jeunes, citadins  et de la classe moyenne ont souvent déserté le vote démocrate en se réfugiant dans l'abstention ouvrant ainsi grandes les portes à l'électorat le plus rétrograde et surtout ignorant. Des jeunes de Chigago, par exemple, le fief d'Obama raflé par les républicains,  ne sont pas allés déposer leurs bulletins de vote préférant rester chez eux. «Je suis déçu, déclarait il y a quelques jours sur une radio un étudiant ce cette ville. Il y a deux ans et demi devant mon téléviseur avec des copains je hurlais ma joie en voyant Barack Obama prêtant serment le jour de son investiture. Pour quel résultat ? Nos conditions de vie n'ont pas changé, elles se sont aggravées… »

C'est vrai. Barak Obama a dû s'affronter aux lobbies, aux multinationales (pharmaceutiques, par exemple dans le cas de l'aide médicale aux plus pauvres), aux pressions diverses visant à atténuer son action. Mais en passant des compromis avec ses adversaires, il a laissé sur le bord de la route beaucoup de ceux qui lui avaient fait confiance. Quelques chiffres confirment cette dure réalité.

Selon Arianna Huffigton, écrivaine et polémiste renommée interrogée par  Annick Cojean  dans « Le Monde magazine », cent millions d'Américains vivent avec des revenus inférieurs à ceux de leurs parents au même âge. La classe moyenne sur laquelle a reposé l'essor économique de ce pays est une espèce en voie de disparition. »

Mme Huffigton dresse un  bilan bien éloigné le « l'exemple américain ». 8,4 millions d'emplois perdus depuis la fin 2007, un Américain sur 5 sans emploi ou sous-employé, un sur 8 vivant de bons alimentaires, un crédit sur cinq menant à la saisie, coupes claires dans les services vitaux pour les plus faibles dans de nombreux Etats, 30% des lycéens quittant l'école sans diplôme… Pour Mme Huffington « Obama a raté son moment, il n'a pas osé. Il n'a pas su faire preuve de l'audace, de l'indépendance et du charisme d'un Roosevelt qui, en pleine dépression, avait lancé un programme de travaux gigantesques dont les bénéfices se ressentent encore aujourd'hui. Pour des dizaines de millions d'Américains, le rêve est brisé.  Le principe fondateur, « un homme, une voix », a été remplacé par l'arithmétique de la politique des groupes d'intérêts. Les lobbies et leur déluge de dollars ont envahi Washington. Une vraie prise de pouvoir. Le gouvernement fixe ses priorités au milieu de ce bazar de trafic d'influence. »

Pour de nombreux Américains la peur du déclin cède souvent à la colère laquelle se retourne contre Obama, véritable bouc émissaire. Des petits partis d'extrême droite font leur beurre sur cette désillusion. Ils rentreront vite dans la grande maison républicaine.

Le vote des Américains se fonde toujours sur les questions économiques internes. Les affaires du monde n'intéressent que la frange cultivée de la population. Or, Obama n'a pas réussi aussi ses paris internationaux. Aucun résultat dans les négociations israélo-palestiniennes, embourbement en Afghanistan, poursuite des tueries en Irak…

Quel l'avenir pour Obama? Deux possibilités s'offrent à lui : continuer à composer avec les lobbies, les multinationales, le camp républicain ou mettre en application ses promesses électorales. S'Il choisit la première hypothèse et ne sait pas retrouver l'enthousiasme de 2007, il y a fort à parier que sa réélection est compromise.

José Fort

 

 

 


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